Avis sur Avadon: The Black Fortress

C'est aussi bon que c'est laid.

soporifique,il me rappele les freeware de mon vieux pc 286.

C'est bon si tu veux pratiquer ton anglais, tout ce qui a a faire dans ce jeu c'est lire, lire et toujours lire, c'est plutot long comme jeu, j'ai arreté apres quelque heures, j'étais tanné d'avoir des textes incroyablement long a lire toujours sans qu'il ne se passe jamais rien

- Très pauvre d'un point de vue immersion : pas de musiques, décors répétitifs... - Trop de lecture ; ça casse la dynamique du jeu

Un très bon RPG, classique. Mention spéciale au fait que ça a été écrit et développé par un seul type ce me semble; c'est impressionnant.

Pour ceux qui arriveront à faire abstraction du coté ultra old scholl de avadon , vous trouverez un superbe rpg. On début , on est décu de ne pouvoir choisir son portrait et que l'anglais utilisé est assez pointu mais bon . Les premières heures passe et là ont ce rend compte que le jeux est riche (équipement,talent,histoire,carisme des pnj), immense avec des missions originales loin des standard actuelle. Donc vu le prix si vous aimez les rpg chronophage , ne le ratez pas

Avadon est un RPG old-school dans lequel on incarne une "Main" (Hand) au service de la forteresse dont le jeu tire son nom. Avadon est la solide clef de voûte du Pacte, une fragile alliance entre royaumes centraux menacés par des ennemis repoussés aux extrémités du continent : ogres, empire déchu, barbares, etc. En tant que Main vous devez mettre en application la politique d'Avadon (les "Yeux" renseignent, les "Coeurs" décident) : chercher et détruire la menace contre le Pacte, qu'elle soit intérieure ou extérieure. Avadon est crainte, très puissante, déterminée, sans pitié... Les aventures du joueur vont donc se dérouler au milieu des luttes d'influence politiques, alternant répression, diplomatie, etc. L'univers du jeu peut paraître simple de prime abord mais il est en réalité plutôt riche, avec des cultures intéressantes et variées, et une cohérence appréciable (jusque dans la manière à laquelle les PNJ réagissent à votre statut de Main). Dans Avadon on est dans le gris, pas dans le noir et blanc, le jeu n'hésitant pas une seconde à vous faire douter, à vous faire détester ceux qu'il vous faisait aimer juste avant, vous laissant parfois fasse à des décisions pas évidentes du tout... Le scénario et l'écriture sont très réussis, de même que les personnages, et les compagnons du joueur. Petit bémol sur des dialogues parfois un peu (trop) dirigistes. Le jeu, globalement, ayant une certaine linéarité de toute façon. Graphiquement Avadon est...disons simple. Pas vraiment laid, mais même pas aussi beau qu'un Baldur's Gate premier du nom. Votre imagination sera utile, ici. Mais une fois qu'on s'y fait, les environnements sont plutôt sympa et les niveaux vastes et bien conçus. Là encore c'est varié et cohérent. Côté son, c'est aussi très minimal. Et pas de musique, à part celle du menu... Le gameplay quant à lui fait honneur au "old-school", notamment les combats au tour-par-tour que j'ai trouvé assez bien fichus. Mais Avadon peut être aussi très très difficile, et fastidieux parfois. Dans old-school, il y a "hardcore". Les niveaux de difficultés ne mentent pas sur leur nom et certains combats paraissent extrêmement injustes tant qu'on n'a pas trouvé la clef. Personnellement je me suis résolu à passer de "hard" à "normal" sur la fin. Et le combat final, optionnel, est une purge absolue et sans fin si vous décidez de le tenter (je n'irais pas dans les détails, je recommande juste à personne de se l'infliger, c'est une horreur interminable, vraiment...). On peste aussi parfois sur la difficulté de retrouver tel ou tel personnage qui nous a donné une quête, et sur le fait qu'on en obtient certaines à effectuer dans des secteurs pas encore ouverts, mais de régions déjà visitées. Il arrive donc qu'on tourne un peu en rond à la recherche de l'objectif avant de pouvoir réellement y accéder. La montée en compétence des personnages se fait sur un arbre assez limité et rigide, mais qui possède néanmoins quelques subtilités qui peuvent en fait beaucoup changer la donne. A mon avis, il faut mieux bien maîtriser quelques compétences qu'en connaître plein mais être mauvais partout, par exemple. De même il peut être tentant d'augmenter son endurance pour soutenir le choc des combats, mais ne pas se faire toucher grâce à une bonne dextérité est un investissement bien plus intéressant à mon sens. Après, c'est au joueur de trouver l'équilibre qui le satisfait. Au pire, il existe un personnage (qu'on rencontre cela dit après déjà pas mal d'heures de jeu) permettant un reroll complet (du PJ et de ses compagnons), c'est très utile ! Au final, malgré des défauts, Avadon est un très bon RPG (et je n'aurais pas passé 60 heures dessus, sinon). Très recommandé aux fans de RPG old-school, mais ça ne plaira pas à tout le monde c'est clair. Avadon existe aussi sur Android et iOS et à mon avis sur ces systèmes c'est un must dans le genre. Le jeu est en anglais, pas traduit à ma connaissance. Durée de vie : 50 heures minimum à niveau de difficulté élevé.

À prime abord, Avadon ne m'attirait particulièrement, me semblant à l'œil comme une série un peu moins originale que celles que Jeff Vogel avait produites jusqu'à maintenant. Je suis heureux d'avoir pris une chance, car on y joue un rôle assez inhabituel pour un RPG. En tant qu'agent d'une puissante organisation dont la cause est honorable et les méthodes parfois douteuses, on doit faire des choix moraux difficiles. Bref, j'ai eu l'impression de retrouver le « R » du « RPG » est c'est rafraichissant. Petit bémol, les habitués de Jeff Vogel vont reconnaitre des graphiques déjà vus maintes fois dans d'autres séries du concepteur. De plus, à quelques occasions les graphiques ne correspondent pas très bien à la description textuelle de l'environnement ; à notre imagination de faire le boulot. Bref, Jeff Vogel est comme toujours un excellent Game Master, mais j'ai hâte qu'il renouvelle son sac de figurines.

Comment dire… WOW! Enfin une histoire sensas qui fait cogiter, c'est pratiquement de la realpolitik. Choisirez-vous de faire votre devoir ou de suivre votre perception? Vous laisserez-vous corrompre? Sans parler des acolytes qui vous accompagneront, eux aussi auront leur mot à dire. Ça faisait un bail que je n'avais été happé de la sorte par un jeu au look austère, de surcroît avec un looong texte en anglais (c'est vrai, ça me saoule vite). Par ailleurs, une rejouabilité sûre pour tester d'autres formules, desceller d'autres lieux, rencontrer d'autres âmes. Et pas loin d'une centaine d'heures de jeu garanties. A part tout ça? Graphismes "kitsch" si l'on veut car très précis et sans aucun problème visuel, situés bien loin de la mode du Pixel Art qui lui, bousille souvent les globes, qui du coup est bien plus kitsch. C'est une question de point de vue, me direz-vous? J’opine du chef. A découvrir.

Un jeu sympathique à condition d'apprécier le genre et l'interface, franchement rétro à la sauce Ultima 6 avec vue de dessus en "3D" isométrique et déplacements/combats case par case. Plutôt que le "journal" papier qui accompagnait souvent ces jeux là à l'époque on aura droit à d'assez longs textes à l'écran, pas si mal écrits. L'univers est sombre, politiquement assez proche du Trône de Fer peut-être par exemple (les descriptions graphiques de violence ou toute allusion de nature sexuelle en moins). Le personnage principal est l'agent pas du tout secret d'Avadon, une organisation chargée de perpétuer l'existence d'un pacte qui garantit la paix à l'intérieur, et s'assure de maintenir divisées et affaiblies les diverses hordes monstrueuses / barbares / décadentes (etc...) qui voudraient sa chute. Pour des raisons mystérieuses mais qui s'éclairciront plus tard, les collègues dont on lui confie la direction semblent être la pire brochette de mécontents et fauteurs de troubles potentiels sur lesquels on a pu mettre la main... La trame principale est intéressante mais assez linéaire, donnant accès au fur et à mesure à plusieurs grandes régions dont les recoins peuvent tout à fait receler des défis qu'il sera parfois avisé de laisser pour plus tard. Au bout de quelques temps elle semble offrir un choix majeur, la voie et la fin "alternative" proposée est peu développée cependant et l'opposition entre les deux un peu caricaturale, même si elle a le mérite d'être là. Les différentes classes de personnages (en gros : guerrier, mage, shaman/druide, roublard à tendance ninja, il y a un compagnon de chaque) se complètent assez bien, avec des lanceurs de sorts assez doués pour faire le ménage de masses d'ennemis mais qui font mieux de se placer de façon a laisser le guerrier encaisser les représailles, ou à défaut le roublard une fois qu'il a un peu d'expérience. En plus d'équipement conventionnel les personnages peuvent aussi porter des "scarabées" qui s'enlèvent et se posent uniquement au QG, et fournissent divers bonus ou permettent de bénéficier d'un talent d'une autre classe, ou d'utilisations supplémentaires d'une de leurs propres capacités habituelles. Il y a beaucoup de combats, peut-être un peu trop, mais certains sont scriptés pour avoir un déroulement et des mécanismes assez intéressants.