DOOM Eternal
2 163

Joueurs en Jeu

2 524 😀     194 😒
88,90%

Note

Comparer DOOM Eternal avec d'autres jeux
$39.99

Avis sur DOOM Eternal

Les armées de l'enfer ont envahi la Terre. Incarnez le Slayer dans une campagne en solo où vous terrasserez des démons et arrêterez la destruction de l'humanité. La seule chose qui les effraie... c'est vous.
ID de l'app782330
Type d'appGAME
Développeurs
Éditeurs Bethesda Softworks
Catégories Solo, Succès Steam, Steam Cloud, Multijoueur, Joueur contre joueur, Joueur contre joueur en ligne, Support partiel des manettes, Cartes à échanger Steam, Lecture à distance sur téléphone, Lecture à distance sur tablette, HDR disponible
Genres Action
Date de sortie19 Mars, 2020
Plates-formes Windows
Langues prises en charge Simplified Chinese, Traditional Chinese, English, Korean, Japanese, French, Italian, German, Spanish - Spain, Polish, Portuguese - Brazil, Spanish - Latin America, Russian

DOOM Eternal
2 718 Revues totales
2 524 Commentaires positifs
194 Commentaires négatifs
Très positif Note

DOOM Eternal a reçu un total de 2 718 avis, dont 2 524 avis positifs et 194 avis négatifs, ce qui lui donne une note globale de « Très positif ».

Graphique des avis


Le graphique ci-dessus illustre l'évolution des avis sur DOOM Eternal au fil du temps, mettant en évidence les changements dynamiques dans l'opinion des joueurs à mesure que de nouvelles mises à jour et fonctionnalités sont introduites. Cette représentation visuelle permet de comprendre la réception du jeu et son évolution.


Avis récents sur Steam

Cette section affiche les 10 avis les plus récents de Steam sur le jeu, mettant en avant un mélange d'expériences et d'opinions des joueurs. Chaque résumé d'avis inclut le temps total de jeu ainsi que le nombre de réactions positives et négatives, offrant un aperçu clair du retour de la communauté.

Temps de jeu: 637 minutes
pas génial ! doom 1 et 2 sont 10 fois mieux, j ai un i 17 13700k, rx 6700 xt, 48 go ram, le jeu frize ...
👍 : 0 | 😃 : 0
Négatif
Temps de jeu: 738 minutes
C'est du taper taper mais c'est du très bon taper taper
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 649 minutes
Tu poses le cerveau au pied de la chaise de bureau et tu butes tout ce qui bouge, avant que les trucs qui bougent ne te butent... Bref, c'est DOOM...
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 1148 minutes
J’ai découvert Doom avec cet opus et MON DIEU QUELLE CLAQUE ! C’est nerveux, ça bouge, ça tire et ça tronçonne dans tout les sens, un vrai régal de prouver à ces maudits démons que leur place n’est pas chez nous et même plus chez eux d’ailleurs parce que l’heure du massacre a sonné et qu’on a faim de tripes sanguinolentes ! En bref, un sentiment de toute puissante, renforcé par une difficulté croissante. Si vous recherchez un exutoire, c’est exactement ce qu’il vous faut. (À partir d’ici c’est long, arrêtez vous si vous voulez pas les détails) Pour revenir un peu plus sur terre, parlons gameplay. C’est bien simple, on est en constant renouvellement : une nouvelle arme toutes les 20/30 minutes de jeu, on a à peine le temps de se faire la main sur une qu’il faut en apprendre une autre qui va servir dans un contexte différent et laissez moi vous dire qu’entre les 8 armes principales, chacune ayant deux modificateurs, les options de corps à corps, la capacité de mouvement et les diverses armes d’épaule, vous avez le moyen de faire de méchants combos pour faire vivre l’enfer aux démons (pas leur chez hein). Au niveau bestiaire ça ne m’as pas paru trop redondant et même plutôt varié, me format de combat en arène est assez bon même si pas au goût de tous, la difficulté et assez progressive ce qui est un plus et permet de nous mettre sans cesse face à un mur un peu plus grand que le précédant. Pour ce qui est de la DA, c’est franchement beau et détaillé. Il m’est déjà arrivé de m’arrêter pour contempler quelques paysages et c’était plaisant. Les secrets sont placés ici et là sans être trop présent et toujours cachés juste ce qu’il faut pour que vous puissiez trouver en réfléchissant un peu (y’en avait quand même 3/4 qui étaient pas évidents et qui m’ont demandé pas mal de temps pour trouver). Un point central du jeu, ce sont les finishers et je pense qu’il y en a bien 6/8 par mob dont certains sauront vous étonner de par leur violence. Enfin, la bande son métalleuse est un pur miel pour les oreilles qui accompagne à merveille les bains de sang que vous provoquerez. J’ai fini le jeu il y a peu et je suis prêt à remettre le couvert avec le dlc !
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 4046 minutes
ce jeu donne la sincère sensation d'être un super-guerrier de l'espace ! une machine à tuer précise et impitoyable/ Aérien, rapide et méchant. Je recommande à tous ceux qui veulent un flow de massacre et de violence ! il est pas toujours facile part contre, surtout les Maraudeurs qui étaient mon cauchemar. hésitez pas à regarder un tuto, moi ça m'à débloquer et ma deuxième run était vraiment super grace à ça. Pour ceux qui attendent les mêmes sensations que Doom 2016 par contre oubliez : en 2016 vous étiez un juggernaught bourrin, la vous être un super guerrier, c'est pas exactement le même délire.
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 4434 minutes
Vraiment chouette mais pas fan du délire "arènes de combat" ca gache un peu tout ce que j'adoré dans doom. Bref le pire est que j'ai acheté le jeu sur bethesda, ensuite transferé le jeu sur steam et j'ai eu que des galères : impossible de se connecter au réseau alors que tout va bien (un coup ca va, un coup ca va pas) et deux fois que je le finis j'ai pratiquement tous les paliers mais pas la moitié des trophées sur steam du coup pas mal décu. En revanche ca reste un bon exutoire et bien vénère !
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 1811 minutes
Un équilibrage parfois aléatoire et clairement un jeu pour les habitués du genre. Dans ma jeunesse, j'aurais pu le faire en normal, mais j'ai finir en facile. Mais je m'en fous, je joue pour le fun, pas pour la compète. En tous cas, 30 heures de jeu, c'est quand même très généreux pour un FPS ! Ajoutons à cela des décors ultra détaillés, dommage qu'on en puisse pas marcher pour prendre son temps à les admirer. Bref, avec Doom 3, cela restera un très souvenir.
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 1144 minutes
Déjà jouez-y c'est un MUST-PLAY comme on le dit en bon jeu vidéo, mais genre quand je dis jouez-y ça veut dire qu'avant de faire n'importe quoi d'autre, achetez ce jeu, donnez de l'argent à ID Software... Je sais pas mais jouez-y. Ce jeu, comme le premier opus est un orgasme numérique. Celui-ci est par contre beaucoup plus axé sur les déplacement. La phrase fétiche de Doom est "BOUGEZ OU MOURREZ". Si vous avez des très bon réflexes, comme moi ;), le jeu sera d'une jouissance atteignant des sommets si haut que plus rien ne vous fera apprécier la vie après. Donc oe en vrai profitez bien... Bref, Doom Eternal = Drogue Dure+++ Jouez-y ;D
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 670 minutes
It's like a horror game, except that u are the monster chasing those poor demons
👍 : 3 | 😃 : 1
Positif
Temps de jeu: 5898 minutes
[h1]L'éternel retour[/h1] C'est bien connu, le Malin dissimule toujours ses intentions. Ce qui est plutôt normal, sans quoi ce ne serait pas le Malin mais le Crétin, et franchement vous imaginez Lucifer choir du Paradis avec un regard de poisson mort, la bouche entrouverte, un filet de bave au coin des lèvres en criant "gnéééé, gne compran pas pourkoi gne tombe" c'est pas possible, paye la gueule de Paradise Lost. Non, le Diable est toujours malin, c'est comme ça. Le reboot de 2016 nous avait déjà pris par surprise : on s'attendait à un FPS crossplatform générique avec du gore et du metal en plus, et on a eu le meilleur shooter AAA de ce millénaire. Je me méfiais également un peu de ce Doom Eternal. Oh, ça allait certainement être un bon jeu, pas de raison, mais qu'allait-il pouvoir apporter de plus à la formule a priori parfaite inaugurée en 2016 ? Rien, ou si peu; un pack de niveau vendu 40 euros. Bon, on va couper court et ne pas tergiverser plus longtemps : ce n'est pas le cas. Du tout. Rentré chez moi avec trois heures de Doom Eternal (et autant de bus RATP, mais c'est une autre histoire) dans les doigts, j'ai relancé l'ancêtre comme ça, pour voir, pour comparer. On va maintenant voir pourquoi, ce serait dommage de se quitter si vite. Les combats de Doom (2016), qu'on va désormais appeler Doom tout court parce que tout le monde sait qu'on ne parle pas de celui de 1993, reposaient sur un grand principe, qui les différenciait de ceux des autres FPS. Au lieu de récupérer des vies en ramassant des objets, comme dans un shooter à l'ancienne, ou par régénération progressive, comme dans un CoD-like, on se soignait en tuant. Le Doom Slayer perdait des vies très rapidement mais pouvait, d'un seul "glory kill" administré avec talent, récupérer assez de points de vie pour passer de 0 à 100 plus vite que n'importe qui sur le périph'. Ajoutez à cela des combats en arène qui empêchent le joueur d'aller se planquer comme un gros lâche dans la pièce à côté, des ennemis agressifs comme c'est pas permis et vous obtenez une formule incroyablement efficace, un précipité de FPS pur, dépouillé de toute fioriture, dans lequel on vit et on meurt uniquement par le combat, et où l'on n'a pas intérêt à s'arrêter de bouger une seule seconde. Doom Eternal ne change pas le vieux pot, mais ajoute un peu de crack dans la confiture. Comme l'expliquait le game director Marty Stratton, les combats de Doom ont toujours été des sortes de puzzles, des parties d'échecs en temps réel dans lesquels le joueur doit être capable de planifier sa prochaine action en une fraction de seconde. C'est encore davantage le cas dans Doom Eternal : comme dans l'épisode précédent, achever un monstre d'un glory kill offre un bonus de vie, et le tuer à la tronçonneuse apporte un surplus de munitions. Mais si cette dernière arme restait jusqu'alors d'un usage exceptionnel, il est désormais impératif de la sortir à chaque combat sous peine de se retrouver constamment à court de cartouches, tant la quantité de munitions qu'on peut transporter est faible. Nouveauté qui complète le tableau, le joueur dispose maintenant d'un lance-flammes qui rôtit les ennemis et leur fait lâcher des bonus d'armure. Voilà, vous commencez à avoir une idée de ce à quoi ressemblent les combats de Doom Eternal. Les arènes de Doom Eternal sont beaucoup plus difficiles que celles de Doom, et la gymnastique mentale qu'elles exigent beaucoup plus rapide. Anticiper les cooldowns de la tronçonneuse et du lance-flammes (ainsi que l'équipement : grenades, orbes de glace...) pour recharger les munitions au bon moment, savoir quand dégommer de la piétaille pour faire le plein de vie au risque de s'exposer aux tirs du gros balèze qui l'accompagne est déjà bien compliqué. D'autant qu'en plus des choix tactiques, qui visent à garder le contrôle du flux du combat, se trouvent imbriqués un nombre considérable de micro-choix : tuer le mancubus en premier certes, mais comment ? A l'ancienne, en le criblant de plasma sans cesser un instant de courir ? Ou bien en commençant par désactiver ses lance-flammes de deux balles de fusil de sniper bien placées, ce qui permettra certes de le mettre hors de combat immédiatement (presque tous les démons ont maintenant un point faible : le canon des arachnotrons peut être détruit, les cacodémons avalent les grenades qu'on leur lance dans la bouche...), mais obligera un joueur moyen à ralentir, et donc à prendre un sérieux risque ? Et puis il y a les différentes armes, qui répondent chacune à un besoin particulier. Plus de flingues inutiles comme le pistolet, ici chaque pétoire est un outil qu'il faut régulièrement sortir de sa boîte, de la mitrailleuse qui cloue les ennemis sur place au super shotgun avec son grappin qui permet de se rapprocher instantanément d'un ennemi distant. En face, de nouveaux ennemis, comme ces serpents ultra rapides ou les gargouilles, variantes ailées des imps, apportent des défis tactiques inédits. Bref, vous l'aurez compris, tout cela est aussi riche que satisfaisant. Les trois premiers niveaux, m'ont suffi à prendre conscience que les environnements de Doom Eternal sont beaucoup plus variés que ce à quoi la franchise nous a habitués. Le jeu débute, bien sûr, sur Terre, dans un niveau très vertical rempli de gratte-ciel en flammes. Pour nous voilà dans la forteresse des sentinelles, temple envahi par la végétation avec un petit air de Darksiders 2. Et c'est reparti enfin pour le temple d'un prêtre maléfique perdu en plus Antarctique, dont les couloirs glacés sont hantés par une merveilleuse réorchestration du thème de E2M6 (les vétérans de Doom 1 comprendront). Premier point commun entre tous ces environnements, à part leur beauté : la richesse du level design, qui utilise intelligemment les nouveautés du gameplay aussi bien dans les arènes qu'entre les combats. Chose rare dans un FPS, les séquences de plateforme sont... bon, je ne vais aller jusqu'à dire agréables, mais plaisantes, en partie en raison de la grande tolérance dont le jeu fait preuve à notre égard mais surtout parce que ces dernières s'intègrent parfaitement aux phases d'exploration : il est très agréable, une fois qu'on a deviné à peu près où se trouvait une zone secrète, de chercher le parcours (le parkour ?) qui nous y mènera. L'autre point commun entre tous ces niveaux, qui achève de différencier Doom Eternal de tout ce que la franchise a produit jusqu'à présent, c'est que je n'avais aucune idée de ce que j'y faisais. id Software voulait enrichir le lore de Doom, c'est chose faite : on se rend d'un point du globe à l'autre via le portail installé dans la Forteresse de la destruction, QG du Doom Slayer, sans trop savoir pourquoi ni comment, pour y être accusé de ne pas avoir respecté les règles d'une bureaucratie céleste incompréhensible, et les quelques logs qu'on ramasse au fil des niveaux ne nous aident pas beaucoup. Sinon, au pire, on aura eu la chance de jouer au premier Doom dont le scénario est plus ésotérique qu'un Dan Brown. Et probablement à l'un des meilleurs FPS de ce millénaire.
👍 : 6 | 😃 : 0
Positif
Téléchargement de fichiers