X Rebirth
Graphiques
16

Joueurs en Jeu

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44,00%

Note

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Avis sur X Rebirth

Dans un futur lointain, l'univers de X traverse une période de mutations profondes et irréversibles. Face à cet avenir incertain, les possibilités d'aventures se multiplient pour faire face à un nouvel ennemi assoiffé de pouvoir.
ID de l'app2870
Type d'appGAME
Développeurs
Éditeurs Egosoft
Catégories Solo, Succès Steam, Steam Cloud, Prise en charge complète des manettes, Cartes à échanger Steam, Atelier Steam, Sous-titres disponibles
Genres Action, Simulation
Date de sortie15 Nov, 2013
Plates-formes Windows, Mac, Linux
Langues prises en charge Italian, Simplified Chinese, Traditional Chinese, Russian, English, Korean, French, German

X Rebirth
7 268 Revues totales
3 166 Commentaires positifs
4 102 Commentaires négatifs
Mitigé Note

X Rebirth a reçu un total de 7 268 avis, dont 3 166 avis positifs et 4 102 avis négatifs, ce qui lui donne une note globale de « Mitigé ».

Graphique des avis


Le graphique ci-dessus illustre l'évolution des avis sur X Rebirth au fil du temps, mettant en évidence les changements dynamiques dans l'opinion des joueurs à mesure que de nouvelles mises à jour et fonctionnalités sont introduites. Cette représentation visuelle permet de comprendre la réception du jeu et son évolution.


Avis récents sur Steam

Cette section affiche les 10 avis les plus récents de Steam sur le jeu, mettant en avant un mélange d'expériences et d'opinions des joueurs. Chaque résumé d'avis inclut le temps total de jeu ainsi que le nombre de réactions positives et négatives, offrant un aperçu clair du retour de la communauté.

Temps de jeu: 361 minutes
On parle souvent de X Rebirth comme d’un échec. Un projet trop ambitieux, mal lancé, mal reçu. Et c’est vrai que sa sortie, en 2013, a laissé des traces : bugs omniprésents, IA erratique, interface confuse, mécaniques incomplètes. Mais juger Rebirth uniquement à l’aune de son lancement, c’est passer à côté d’un jeu qui, avec le recul, incarne une tentative rare de réinventer le space opera à la première personne, dans un univers entièrement dynamique. X Rebirth n’est pas une suite directe de X3. C’est une réécriture. Un soft reboot. Nouveau moteur, nouvelle approche, nouvelle philosophie. Exit la liberté immédiate de piloter tout type de vaisseau : ici, vous êtes à bord du Skunk, un cargo unique que vous allez moduler, améliorer, personnaliser… et dans lequel vous allez passer des dizaines d’heures. Ce choix, radical, a été violemment critiqué à l’époque. Pourtant, il offre quelque chose d’inédit : une sensation de pilotage incarné, proche du cockpit de Battlestar Galactica ou Firefly. On vit vraiment à bord. On y reçoit les transmissions, les rapports, les alertes. On y embarque des copilotes. On s’y attache. La direction artistique mérite d’être saluée. Stations monumentales, architecture industrielle alien, trafic constant dans les couloirs spatiaux, reflets sur la verrière du cockpit : tout respire la science-fiction « lourde », fonctionnelle, dense. Ce n’est pas une beauté propre et glacée à la Star Citizen mais une esthétique rouillée, vivante, crédible, plus proche de The Expanse. Et en 2025, après toutes les mises à jour, le jeu reste étonnamment beau, stable, et fluide sur une machine moderne. Sur le plan de la simulation, Rebirth a toujours été ambitieux : économie dynamique, factions indépendantes, commerce libre, batailles à grande échelle. Le problème, à sa sortie, c’est que la moitié ne fonctionnait pas. Aujourd’hui, grâce aux patchs, au DLC The Teladi Outpost, à Home of Light, puis à The Expansion Pack, les systèmes sont réparés et exploitables. Vous pouvez construire vos stations, automatiser vos routes commerciales, recruter des équipages, installer des tourelles, concevoir votre propre flotte. C’est plus rigide que dans X4, certes. Moins modulaire. Mais ça fonctionne. Et surtout, l’immersion est intacte. Le gameplay intérieur – marcher dans les stations, parler aux PNJ, recruter un pilote ou un ingénieur est l’un des éléments les plus polarisants. À l’époque, c’était vide, lent, mal doublé. Aujourd’hui encore, ces séquences manquent de densité, mais elles restent une belle tentative de “mettre un visage sur le monde”. On peut regretter leur exécution, mais pas leur intention. X Rebirth reste un jeu systémique, mais plus guidé que ses prédécesseurs. La campagne principale (plutôt oubliable dans son écriture) sert surtout de long tutoriel. Le vrai plaisir vient du free roam, comme toujours chez Egosoft : explorer, commercer, construire, modifier l’univers en silence, sans cinématique, sans générique. C’est un jeu où l’on apprend plus dans l’ombre que dans la lumière. Et c’est ce qui le rend passionnant pour les amateurs de sandbox spatiaux. Il faut accepter ses défauts : interface peu intuitive, ergonomie parfois rigide, mécaniques plus rigides que dans X3 ou X4, impossibilité de piloter plusieurs vaisseaux (hors modding), et dialogues très inégaux. Mais il faut aussi reconnaître ce qu’il a été : un laboratoire de design. Sans Rebirth, X4: Foundations n’existerait pas tel qu’il est. C’est ici qu’Egosoft a testé les cockpits en vue FPS, les intérieurs de stations, le moteur Vulkan, la navigation modulaire, et la transition sans chargement entre espace et structures. Et pour le joueur qui sait lire entre les lignes, Rebirth est un objet fascinant. Moins abouti, oui. Moins libre, oui. Mais plus dense, plus immersif, et par moments… plus audacieux.
👍 : 2 | 😃 : 0
Positif
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