Avis sur Closure

petit jeux indé sympatique

[h1]Tout ce que je peux voir existe.[/h1]

Un jeu de plateforme simple et original. J'adore!

Puzzle game terrifiant, noir et blanc...Grand .

Bon jeu, bonne prise de tête !!! 10/10

très intéressant, le concept est accrocheur, et le jeu n'est pas si facile que ça !

Ambiance onirique, très belle musique, une idée originale particulièrement intéressante en terme de gameplay. Des énigmes parfois complexe mais rarement insurmontable.

[b]Let's just close it[/b] J'ai le souvenir d'une patte graphique sympa, mais d'un gameplay ennuyeux, à la fois exigeant et répétitif. Bon courage à ceux qui le tenteront tout de même.

Closure est un jeu qui mêle plate-formes et réflexion basé sur le principe que seul existe ce qui est visible et dans lequel il s'agit donc de jouer avec l'ombre et la lumière. Je ne rédige habituellement une évaluation que pour les jeux que j'ai entièrement terminés et dont je peux évoquer tous les aspects. Je fais une exception pour Closure car c'est vraiment un excellent jeu mais je n'y joue que de courtes sessions de temps en temps. Closure, c'est un univers qui se partage uniquement entre le blanc et le noir. C'est-à-dire la lumière et les ténébres, le yin et le yang. Les deux faces d'un même monde : celle qu'on exhibe et celle qu'on dissimule. La lampe qui sert de repère pour baliser le chemin connu mais qui peut aussi révéler le monde inconnu. L'ombre démontre quant à elle qu'elle n'est pas que le néant ou l'insondable abysse dans lequel toute chute serait fatale mais qu'elle peut être l'unique solution pour révéler l'issue providentielle. Closure, c'est aussi une ambiance sonore qui sait retranscrire habilement ce balancement entre la clarté et l'opacité, qui contribue pleinement à donner à donner son identité au titre sans tirer toute la couverture à elle. Closure, c'est enfin 82 niveaux répartis en 4 mondes qui propose une difficulté progressive, l'introduction régulière de nouveaux éléments de gameplay et des énigmes à l'originalité sans cesse renouvellée. Si certains passages ne retarderont même pas les débutants, d'autres pourront peut-être donner du fil à retordre aux plus expérimentés, souvent parce qu'il faut revoir son sens logique pour intégrer les lois en vigueur dans le monde de Closure. Et ça, c'est bon. Si on ajoute que chacun des quatre mondes cache une petite histoire différente et que récolter en cours de route des papillons offre au final un bonus, obtient un jeu pleinement réussi et qui reste étonnemment encore bien méconnu bien qu'il date déjà de 2012.

Ce que vous ne voyez pas n'existe pas. Un concept tout simple qui donne un puzzle game efficace. Closure se présente comme un jeu de plateforme en 2d, uniquement en noir et blanc. L'on passe à travers une succession de tableau de plus en plus retors, avec des mécaniques qui s'additionnent les unes aux autres et des puzzles parfois bien ardus. Dans ces tableaux, vous trouverez plusieurs sources de lumières – lampes que l'on peut pivoter ou sphère que l'on peut transporter – qui éclairent le sol et les murs. Le but est à chaque fois d'atteindre la porte cachée quelque part dans le tableau, en sachant qu'elle peut parfois être verrouillée, et qu'il vous faudra trouver une ou plusieurs clés pour pouvoir l'ouvrir. Un mur vous bloque le passage ? Il vous suffit d'écarter la lumière pour le faire disparaître dans l'obscurité. La clé est coincée derrière un précipice ? Et si ce précipice n'en était pas un, et qu'il vous suffise de transporter une sphère avec vous pour découvrir le sol sur lequel vous pouvez marcher ? Mais attention de ne pas vous retrouver vous-même dans le noir ; vous tomberiez dans le néant et devrez recommencer. Voilà ce qui vous attend avec Closure. La durée de vie est largement suffisante – le jeu est peut-être même un peu trop long, tant il ponce son concept autant qu’il peut pour nous offrir toutes sortes de variantes, un peu à la manière de The Witness. Je n'oublie pas de mentionner que la musique joue un rôle particulièrement oppressant, qui ajoute à la noirceur du titre. À vous de trouver la lumière.