Avis sur Valfaris

Beaucoup beaucoup mieux que Slain, gameplay confortable, beaux pixel art, par contre quelque point noir, arriver vers la fin du jeux, vos flingue devienne inutile... et se base que sur les contres.... sans compter que les paterne sont abusivement trop rapide, comme Slain un jeux de frustration, mais il est juste dur pour être dur, sans compter les cœur aléatoire, je le recommande mais à faire que une seul fois.

J'ai acheté ce jeu parce qu'il me faisait penser à un vieux jeu peu connu sur mac (Death From Above). Et bien je n'ai pas été déçu! Il y a beaucoup de ressemblances! Le coté gore, la difficulté, les armes, les boss... C'est à se demander si ils ne s'en sont pas inspiré. On peut même dire que Valfaris est le digne descendant de DFA. J'ai donc eu de la nostalgie à jouer à un jeu dont je n'avais jamais joué, mais qui m'était familier et c'était fort plaisant. J'ai eu du mal avec les touches mais j'ai finalement compris comment bien manier mon personnage au bout d'un moment. Le jeu est dur mais a force de reéssayer on arrive à trouver les faiblesses et les méchaniques des monstres ou boss. On retrouve une difficulté de jeu des années 90 pour ainsi dire parfaite. Les skills et réflexes sont récompensés. J'ai cependant été un peu triste sur la durée du jeu qui me semble un peu courte, même si on peut le recommencer avec toutes les armes en difficulté plus élevée. En résumé, ce jeu est très sympa, drôle et bien pensé, je le recommande à 100%

Très bon jeu, assez difficile, et seulement 12% des joueurs vont jusqu'a la fin. J'ai passé minimu 4 heures sur le dernier boss en 3 phases. J'en n'ai baver mais on respawn toujours au dernier point de passage donc a force de persévérance et parfois de modification d'équipement, sa passe. Les minis boss et boss arrivent très rapidement, on n'est mais pas l'impression parfois qu'il ya quelques créatures lambda a buter entre chaque phase.

Successeur de Slain: Back From Hell, ce jeu va dans sa droite lignée : run and gun très vénère, difficulté élevée, pixel art de haute volée et arsenal permettant de tout découper sur son passage. Mais contrairement à Slain qui était difficile tout en ayant des mobs somme toute assez simples à appréhender, voilà que Valfaris rend la chose encore plus corsée. Le seul point positif que j'y ai trouvé est le pixel art : c'est le plus beau jeu auquel j'ai pu jouer, c'est carré, précis, coloré comme il faut, les ambiances selon les niveaux sont toujours réussies. Bref, c'est absolument magnifique, il n'y a rien à redire. Mais si vous trouviez que Slain était très difficile, attendez de voir Valfaris : bien que les check point soient nombreux, trèèèès nombreux, vous mourrez systématiquement entre chaque. Plusieurs fois. Et quand je dis plusieurs fois, on est beaucoup plus proche de 20/30 que de 2/3. Die and retry. Ce jeu est injuste et punitif, chaque ennemi étant prétexte à rendre les choses toujours plus inutilement pénibles. Quant aux bosses, bah c'est encore pire. Autant dans Slain j'avais trouvé que les bosses étaient très simples comparativement aux mobs (il m'est déjà arrivé de ne mourrir qu'une seule fois contre un boss avant de le battre), ici c'est la foire à la saucisse : chacune des attaques est brouillone, difficile à comprendre, peu claire et les patterns inconstants d'un combat à l'autre. C'est très souvent du bol qui vous fait tenir, à matraquer l'épée et le gros gun, quand subitement il faut utiliser son bouclier tout en évitant les parades offensives absurdes de l'ennemi. Les contrôles sont aussi un calvaire : impossible d'attaquer en bougeant. Je comprends l'envie de faire un jeu rétro, mais là c'est idiot : la rigidité dessert totalement le jeu, combiné à cela un personnage en plomb qui peine à répondre aux commandes et vous êtes plongé dans le pire du jeu vidéo des années 80. En somme, j'ai bizarrement préféré Slain car la difficulté est pas aussi stupidement élevée et injuste. Je n'ai pas pu terminer ce jeu (environ la moitié), il est définitivement trop dur, c'en devient injouable.

Quel pied! Pour les amateurs de Die & Retry ou encore de gros son (dont je fais partie!), ambiance, décorum, puissance des armes... et surtout les boss! Mention spécial à ce boss de fin qui a fait doubler mon quota de Game Over! Une réussite totale! Vivement la suite!

VALFARIS, VALAR MORGHULIS ! Traquer un roi devenu fou qui a trahit tout le monde : telle sera notre mission !! Bien sûr la première chose qui nous fais venir vers ce jeu est la qualité incroyable de son pixel art ! Magnifique de bout en bout, les animations sont fluides, et les effets de lumières sublimes. La musique n'est pas en reste, et son style métal hurlant nous immerge dans cette ambiance apocalyptique délirante, au gré des biomes que l'on traverse. Une variation du style d'arme sera là : de loin, au cac, bouclier, ou shoot plus puissant mais contraignant, la panoplie sera complète. Néanmoins ce sera limité, malgré plusieurs armes, car finalement, beaucoup seront similaires en terme de style de projectiles et dégâts. Le gameplay est très bon, facile à prendre en main, avec une application des dèvs à nous "présenter" chaque nouvel ennemi pour qu'on sache à qui l'on aura affaire par la suite. Bien que devenu commun pour ce style de jeu, il est appréciable de retrouver des situations variées afin que l'on reste constamment sur le qui-vive et qu'aucun sentiment de linéarité ne s'empare de nous. Que ce soit l'architecture des niveaux, les secrets, les patterns des mobs : tout est fait pour le spectacle et la castagne !! D'ailleurs cela rappellera à certains le jeu Super Probotector, dans le rythme et le style de gameplay (mais sans les passages en vue de dessus, avec le mode 7 de la SNES ^^ ). Enfin concernant la difficulté : le jeu sera parfois très difficile pour les joueurs casuals. Mais sera du pur bonheur pour les gros gamers, et les old school gamers. Moi j'ai adoré !

Fun challenge, while there are some unfair deaths as others mentionned (are exploding bosses when they die really necessary...), but not too frequent and savepoints are plentiful. About those, I liked the risk/reward provided by sacrifying health to activate checkpoints.

Valfaris est un jeu qui, sur le papier, avait tout pour me plaire. Une DA pixel art léchée, une bande-son faite de grattes endiablées, une action frénétique, etc. Mais la douche s'est révélée froide, que dis-je, glaciale! N'y allons pas par quatre chemins: la difficulté est juste débile. Un peu de challenge ne me rebute pas, mais nous sommes ici dans les heures les plus sombres du jeu vidéo. Même un Ghouls'n Ghosts me semblait moins punitif. Si encore la difficulté résidait dans une certaine notion de die and retry ou de "par coeur", ça passerait. Mais nous ne sommes malheureusement pas aidés par un gameplay approximatif, souvent bancal (la récupération sur une plateforme après escalade) et qui finalement n'aide pas à accepter cette difficulté. Après avoir donné sa chance au produit comme on dit, j'ai dû me contraindre à ragequit dans les règles après une heure de jeu, face à une escalade en scrolling vertical (le coup de la fameuse lave qui monte) venue à bout de ma patience légendaire. Le rock n'est peut-être pas mort, mais Valfaris est à présent remboursé et un mauvais souvenir lointain.

Un jeu d'action/plate-formes brutal dans tous les domaines : le visuel, l'audio, le gameplay. L'ambiance marche vraiment bien, on retrouve un bestiaire varié, différents environnements, et des boss tous très réussis. La difficulté est assez prononcée, il faut s'attendre à mourir un bon paquet de fois, mais on n'a jamais l'impression qu'un passage est insurmontable pour autant car il y a pas mal de checkpoints (qu'on peut utiliser ou non) et il n'y a pas de Game Over. Il y a un minimum de rejouabilité si on veut retenter l'aventure en changeant d'arsenal, en cherchant tous les secrets et en tentant de battre les stats de notre première run. Valfaris est un jeu vraiment travaillé qui veut montrer ce qu'il y a de mieux dans son genre.

En 2016, Steel Mantis sortait son premier jeu, "[b]Slain[/b]", un jeu d'action/plateformes du même style que "[b]Rastan[/b]" (arcade, 1987) ou "[b]Shadow of the Beast[/b]" (Amiga, 1989): on y incarnait un barbare nordique ramené à la vie devant affronter divers monstres et pièges dans un univers gothique, au rythme d'une excellente bande originale heavy metal. "Slain" avait comme points forts un univers pulp plein de charme et une réalisation artistique (graphismes, animation) exceptionnelle, mais malgré des mises à jour bienvenues, il a souffert de lacunes dans ses contrôles, son défi et son level design. "Valfaris" reprend le même type de formule et présente les mêmes qualités, mais cette fois-ci dans univers de science-fiction pulp digne de "Métal Hurlant" ou du "Cycle de Mars" de Edgar Rice Burroughs (on y dispose donc d'armes à distance en plus d'armes de contact), et surtout, le jeu est beaucoup plus abouti: l'univers et la réalisation sont encore plus soignés au point de ressembler à une bande dessinée interactive façon "[b]Comix Zone[/b]" (Mega Drive, 1995) ou au dessin animé "Métal Hurlant" de 1981, et sur le plan du contenu et du gameplay, le jeu est ici beaucoup plus intéressant et spectaculaire. Ludiquement, "Valfaris" se situe entre "[b]Turrican[/b]" (Amiga, 1990) et "[b]Contra[/b]", il est donc assez proche de "[b]Super Turrican 2[/b]" sur SNES (1995): le jeu est globalement linéaire avec quelques éléments d'exploration qui permettent de trouver des bonus supplémentaires, et l'action y est plutôt méthodique, exigeant une utilisation judicieuse de l'arsenal à notre disposition afin de contrecarrer des ennemis, des pièges et surtout des situations très variés. Therion, notre héros débordant de testostérone, dispose en effet de trois types d'armes: une arme à distance, une arme de contact, et une arme à distance spéciale très puissante dont l'usage dépend d'une barre d'énergie - on regagnera de l'énergie en collectant des bonus et surtout en tuant les ennemis au contact, et l'énergie sert par ailleurs à activer un bouclier qui bloquera les attaques ennemies (dont celles au contact). Activer le bouclier au bon moment permet aussi de collecter les projectiles adverses pour les renvoyer, et au contact, ça produira un "contre" qui déstabilisera l'adversaire. Chacun de ces trois types d'armes comporte lui-même plusieurs armes que l'on collectera et améliorera au fil de l'aventure: on démarre avec un pistolet et une épée, mais si tout se passe bien, on finira avec six/sept armes pour chaque type. On choisit et améliore ses armes aux checkpoints, qui eux-mêmes doivent être activés en utilisant des "idoles de résurrection" à collecter sur le chemin ou dans des endroits cachés. Pour améliorer ses armes, il faut utiliser des sortes de jetons métalliques plus ou moins cachés ou détenus par les ennemis. On peut améliorer son arsenal plus vite grâce à une mécanique de risque/récompense façon "Shovel Knight": au lieu d'utiliser ses idoles de résurrection pour activer les checkpoints, on peut les garder en n'activant pas ces derniers, et en fin de chapitre (il y en a huit en tout) on pourra convertir quelques idoles en jetons - prendre ce risque rendra la suite plus facile. Les armes sont très variées, chacune est unique avec ses propres avantages et inconvénients, on devra donc bien réfléchir avant de décider dans quelles armes investir ses jetons. Le choix et l'usage des armes, le fonctionnement du bouclier, l'exploration pour trouver les éléments à collecter, le dosage des risques, etc. se combinent avec un défi lui aussi très créatif, avec des ennemis qui se renouvellent fréquemment, de nombreux boss très impressionnants, diverses mécaniques originales, etc. qui, malgré les airs "bourrins" du jeu, rendent son gameplay assez subtil et surtout prenant voire addictif. Il faut ajouter à ça, comme on l'a dit, une réalisation extraordinaire: le jeu cumule du pixel art, de la digitalisation, des rotations et déformations, des effets de lumière et de halo, etc. qui superposés auraient pu sembler chaotiques, mais tout s'harmonise parfaitement à la manière de "Symphony of the Night" en plus spectaculaire - le jeu est plus dynamique et coloré, plus nerveux, mieux rythmé, avec un style qui donne une impression d'esquisses crayonnées, c'est magnifique, on dirait du Philippe Druillet. Comme on l'a dit, l'univers est aussi très accrocheur, avec une narration parfaitement dosée: assez présente pour ajouter beaucoup de charme, mais assez discrète pour ne pas interférer. L'action est difficile mais très accessible si on gère bien ses armes, les vies sont infinies et les checkpoints sont nombreux. Une fois le jeu fini, on pourra refaire autant de boucles que l'on souhaite dans une version plus difficile en gardant son arsenal amélioré. En résumé, "Valfaris" est une tuerie intergalactique (au propre comme au figuré), c'est un des meilleurs jeux du genre qui matérialise ce à quoi je rêvais de jouer sur micro-ordinateur 16-bit, et je le recommande vivement. ([url=https://simbabbad.blogspot.com/p/steam.html]liste de toutes mes évaluations sur mon blog[/url])