Avis sur Infinifactory

A classic Zatronics game. Optimising your first solution is particularly satisfactory (ahah) as it always involve simplifying it.

Très bon feeling visuel, cinétique et sonore ! Toucher très réaliste des pièces mécaniques, et un certain humour un peu spécial, j'adore !

Même s'il est sorti depuis quelques années, ce jeu reste néanmoins toujours un très bon jeu avec des puzzles à la difficulté croissante et de nouveaux éléments pour casser la routine. De plus, le workshop est plein de challenges créés par la communauté pour augmenter d'autant le temps de jeu ! Bref, c'est un grand OUI !

Je ne connaissais pas SpaceChem, du coup j'ai testé la démo, j'ai vite compris le principe, et je me suis dit que le même concept en 3D pouvait être énorme. Donc j'ai craqué et je ne le regrette pas une seconde... 19h de jeu en 2 jours... oui c'est très dur d'en décrocher ;) Je crois bien que ça ne m'était jamais arrivé sur un jeu solo ! Sinon, pas grand chose à rajouter aux autres commentaires, si vous aimez les puzzle games et que l'optimisation vous obsède, alors arrêtez de lire et foncez !

Au début, j'ai bien aimé les puzzles, mais il semble que la difficulté fluctue trop. Passer une heure à construire et à tester un engin pour être obligé de le supprimer à nouveau et de repartir de zéro n'est pas un signe de construction intelligente de puzzle, c'est juste répétitif et finalement très ennuyeux et frustrant. J'avais aussi l'impression de manquer d'outils de base pour obtenir des résultats satisfaisants plus tôt dans le jeu. Je n'aime pas la façon dont vous n'avez aucun contrôle sur l'usine une fois qu'elle est en marche. La phase de construction n'est pas vraiment amusante car la seule façon de tester votre engin est de démarrer l'usine. Une sorte de simulation de la construction ou un système d'indices aurait été bien pour faire avancer les choses lorsque vous êtes bloqué. Je ne sais pas exactement pourquoi je n'aime pas ces puzzles. J'ai aimé Portal 1 et 2, par exemple, et je pense que cela a à voir avec le fait d'être presque immédiatement récompensé ou au moins de pouvoir avoir une idée de ce qu'il faut faire et donc de pouvoir se fixer un objectif et de constater les progrès à chaque étape dans les jeux mentionnés ci-dessus. Dans Infinifactory, vous pouvez passer toute la journée à regarder un puzzle et ne pas vous approcher d'un iota de sa résolution. Les expériences, à la différence de Portal où vous volez et faites partie du puzzle, ne sont pas intuitives, elles ne sont pas ludiques et vous n'en faites pas partie non plus. Je n'ai pas non plus compris la fascination de la souffrance et de la mort pour un titre aussi léger. L'humour semble être en fort contraste avec le thème plutôt ludique et ne convient pas. Cela ne m'a cependant pas vraiment empêché de jouer, mais cela n'a pas non plus rendu le jeu plus amusant. Mais la 2 ème Partie du Jeu est HORRIBLE, mon dieu j'était désespéré ou la seconde partie du jeu est arrivé et m'a dit "et voilà tu à complété la première partie du jeu, voilà la seconde partie plus difficile" je n'ai jamais AUTANT désespéré de finir un Jeu, je n'ai pas vu une difficulté aussi violente pour quelque chose comme ça ! et pourtant je ne suis pas habitué au jeux d'énigme facile, j'ai eu moins de difficulté à finir Portal Prelude, Stories Mel en mod Hard, ou même les the Rooms sans jamais utilisé les indices. Mais il se trouve que le jeu le plus difficile pour moi est Infinifactory est ses niveaux de seconde partie de jeu ?? qui l'eu crut ? Je suis arrivé au Stade ou je ne voulais plus jouer au jeu ! et pourtant c'est pas moralité ! Je me suis pas autant forcé à finir Bridge Constructor Portal, Maxé les matchs sur Rocket League en Ranked. Mais c'est incroyable ! je n'ai jamais été autant frustré par la difficulté d'un jeu ! Malgré tout ce qui te va Infinifactory je suis désolé je ne te recommande pas malgré tes 95% d'évaluation positive je ne peux plus y jouer.

La pépite 3D de Zachtronics. Toujours un petit univers bien sympathique. Des puzzles optimisable à souhait (n'allez pas voir sur Youtube les solutions, sous peine de vous dire "C'était tellement simple. Mais pourquoi je n'y ai pas pensé !?"). Je recommande évidemment !

Zachary Barth revient à ses premières amours en nous proposant un nouveau tord-cervelle dont il a le secret. Le jeu est encore en early mais propose un nouveau de finition largement digne d'une version release. De plus, je fais entièrement confiance à Zachtronics, ces gens là ne font pas des jeux pour arnaquer les gens, ils arrivent même parfois à les rendre plus intelligents ! Ce Infinifactory par son logo et ses tapis roulants fera penser à l'excellent Factorio, mais en ce qui me concerne, la comparaison s'arrête là. En effet, il n'y a pas de monde ouvert ni quoi que ce soit de ce genre, il s'agit bien de résoudre des énigmes dans des puzzles de plus en plus complexes, avec un mode opératoire qui fait de ce jeu un hériter clair et affirmé du brillantissime Spacechem, mais en 3D cette fois. On retrouve donc avec bonheur, après avoir résolu, une énigme, les diagrammes qui permettent de comparer nos performances à celles de la communauté, et on s'étonnera toujours de ce que certains parviennent à faire^^'. Cela signifie que le jeu a gardé cette composante essentielle de Spacechem : les multiples façons de résoudre un puzzle. Ceux qui vouent un culte à Spacechem peuvent se jeter comme des affamés sur ce Infinifactory, les autres feraient bien d'y songer aussi, le jeu étant peut-être plus facile à domestiquer que son illustre ancêtre. J'ai fait ici une petite vidéo découverte de cette merveille: https://www.youtube.com/watch?v=tgHAkpqX_ek

Je joue sur Linux. Version Linux : excellente. [h1]Le jeu[/h1] Infinifactory est un casse-tête déguisé en jeu de construction d'usine. On a des objets en entrée, et des objets à produire en sortie. Pour ça, on a à notre disposition un tas de blocs qu'on peut placer où on veut dans le niveau. C'est un bon casse-tête : montée en difficulté progressive, déblocage des nouveaux blocs, niveaux variés. On peut construire nos usines comme on l'entends, il n'y a pas vraiment de limitation, ni de solution "voulue" par le développeur. Les derniers niveaux sont clairement plus ardus, et il faudra bien prévoir comment on veut procéder sous peine de devoir refaire de grandes parties de l'usine. Il y a bien sûr des solutions plus optimisées que d'autres, et on se prends facilement au jeu de vouloir pousser l'optimisation pour faire mieux. Surtout avec les leaderboards qui montrent les scores de nos amis steam (ainsi qu'un histogramme global de tous les joueurs) dans trois catégories : cycles, nombre de blocs utilisés, et surface au sol. La jouabilité est pas mal, on a des options de QoL comme le déplacement de "zones" entières, ce qui aide quand on veut faire un peu de place autour d'une machine sans devoir refaire toute l'usine. Ce n'est pas parfait pour autant, la "zone" se retrouvant bloquée par n'importe quel bloc sur la route quand on la déplace. Graphiquement, c'est plutôt moche, mais c'est tout à fait acceptable. La musique se fait oublier, par contre les bruitages peuvent être un peu pénible, notamment les destructeurs quand on en a un paquet qui se déclenchent en même temps... [h1]Rejouabilité, achievements[/h1] Les achievements ne sont pas compliqués. Globalement il faudra faire tous les niveaux et finir certains niveaux avec des restrictions (aucune difficulté, quite à revenir dessus une fois qu'on maitrise mieux le jeu). Il y a quelques achievements pour faire des niveaux du workshop. Le plus "pénible" étant de finir un niveau en plus de 10.000 cycles. Ce n'est pas difficile de construire une machine pour ça, mais ça demande de laisser le jeu tourner un bon bout de temps en attendant juste que ça se termine. La rejouabilité... eh bien, entre les leaderboards qui encouragent à l'optimisation et le workshop, si on veut continuer, on est servi. [h1]En bref[/h1] Un excellent casse-tête à la sauce Zachtronics. [h1]GNU/Linux[/h1] Sur mon système, il a été nécessaire de sélectionner la version 1.0 du runtime Steam Linux, avec la version courante le jeu ne fonctionne pas. OS: Arch Linux, KDE Plasma 6, Wayland. Hardware : 5950x, AMD RX 6900XT, 64GB ram. Screens : Dualscreen, 1x 4K & 1x 1920x1200.

Travailler à l'usine, c'est rigolo. D'accord, on ne revient pas de Infinifactory avec les mains sales et calleuses, mais quand même épuisés après les séances d'intense réflexion dirigées par de joufflus extraterrestres. Et on en redemande, captivés par des mécaniques simples, claires et intuitives servies par un level-design génial et qui cède une grande liberté dans la résolution des puzzles. Encore en Accès Anticipé, le jeu est déjà très fun et on oublie vite ses petits défauts, comme le scénario anecdotique et la modélisation parfois hasardeuse. [url=http://indius.org/apercus/infinifactory/] L'aperçu complet sur Indius [/url]

Ce jeu est le puzzle game de l'année. Les premiers niveaux consistent à acheminer des blocs du générateur de blocs vers l'objectif. Quelques niveaux après, on te demande de souder au préalable des blocs avant de les amener à l'objectif. Puis on te donne des triggers, puis on t'apprend à faire des rotations, et ainsi de suite. Et à la fin du jeu, on te demande de créer trois blocs gris horizontaux attachés à cinq blocs bruns ayant une disposition précise, eux-mêmes accrochés à deux fois trois blocs jaunes ainsi qu'un bloc blanc. Le tout en gérant l'espace parfois limité, les timings, et les deux-trois limites imposées comme l'impossibilité de souder des blocs perpendiculaires. On en chie, mais à force de persévérance on arrive à créer une chaîne de montage ultra complexe qui nous impressionne nous-même.