Avis sur Master Reboot

pretty amazing, great tron-like ambiance successor. the developper seems to be high on ducks, though.

Numérisation de consciences,esclavage, technologie, énigmes, dérangeant...Valeur sûre.

J'ai trouvé le jeu un peu chiant au début mais au fil du temps ce jeu devient un pur bijou. Je ne comprend pas le 59/100 de metacritic, ce jeu mérite quand même un bon 80/100.

"master reboot" ou plutôt MAAAAAAAASTER R-R-R-REBOOT ( motherfucker ), littérallement "maître redémarrage" ( google traduction ALLELUIA ) est un jeu , un vidéo , un jeu vidéo même (si j'ose dire ) qui nous plonge dans un univers un peu étrange et mysterieux ( en 2017 ou une connerie du genre ) ou les gens sauvegarde leurs âmes dans un programme qui s'appelle le "soul cloud" (dans la lignée du cloud de steam et d'apple ) et uploade leurs souvenirs dans des serveur ( vous imaginez tout de même le désastre si un hacker super fort genre Neo de matrix venait foutre la merde ). C'est dans cette base de scénario sympathiquement que le jeu se permet de nous mettre plein de truc que les "d'jeuns" appellerais "WTF ?" a la geule , mais se scénario permet aussi une grande liberté dans les environnements , comment ? , vous ne suivez plus ? , alors écouter bien parce que vous êtes sur le point de passer a côter d'un jeu tout a fait sympathique qui en interesserais plus d'un. Dans ce jeu on contrôle une femme , ou un homme je n'ai pas tellement compris , qui se retrouve dans se fameux "soul cloud" et qui va revivre ces propres souvenir poursuivit pas une sorte de gamine de bioshock dopé au cannabis. Vous débloquerez les niveaux 4 par 4 et vous pourrez les jouer dans l'ordre que vous voulez ( et en plus de ça , ça rime , oh yeah , I've got the grooooove baby ) a partir d'un hub. Les niveaux seront aussi diversifier qu'originaux et le gameplay est assez simple : on arrive dans une zone , on est émerveiller par les graphisme et la musique , et on bourre son disque dur de captures d'écran qu'évidemment PERSONNE ne regardera ; étape 2 : on comprend ce qu'il faut faire , en effet , il va falloir toujours résoudre une série d'énigme pour activer 3 interrupteur/ avoir trois clé/activer un tourniquer etc... Et oui , il vous faudra utilisé un peu votre cerveau dans master reboot , ce qui dérangera a coup sûr les kikoo qui passe leurs vie sur kollauffdioutie , après avoir résous ces défférents énigme et activer ce que vous devier activer , un portail d'ouvrira et vous mennera dans le suite du niveau. La suite du niveau elle est simple , plus d'énigme , mais soit platforme , comtemplation de décors, révélation scénarisitique etc… Le jeu s'organise comme ça durant tout les niveaux. Mais il faut aussi préciser que le jeu fait peur par moment , l'ambiance est glauque et la gamine de bioshock dopé au cannabis va vous faire flipper durant les quelques screamer ( BOUH !!! ah ah , ça marche toujours ) que contient le jeu. Au final , master reboot est BEAUCOUP moins compliqué comme jeu de réfléxion qu'un portal , sachant que le jeu est plus axé sur son scénario et son ambiance , les environnement ne se ressembles pas , le jeu est au final assez cours et assez facile… mais tout de même , vous prendrez assurément plaisir a jouer a "maître redémarrer" ( google traduction , I love U ) mais tout de même , a ne pas mettre entre toutes les mains , et je vous conseil plutôt de l'acheter en soldes voilà , Master Reboot , un bon jeu en somme.

Mi-Myst, mi-Gone Home : Master Reboot, c'est un jeu d'exploration et d'aventure dans un monde virtuel où l'on peut uploader ses souvenirs, sa personnalité, et croiser quelques fantômes dans la machine. J'ai adoré.

L'ambiance... Le seul truc potable de ce jeu. Tout le reste est à jeter. On tourne en rond dans des niveaux cerclés de murs invisibles, tentant vainement de résoudre les énigmes idiotes et inintéressantes qui parsèment l'aventure (quasiment toutes du type "appuyer sur le bouton pour débloquer un machin ailleurs'), ou en trouvant des piti canards planqués ça et là (Donnant accès à des détails sur la vie insipide de la fille dont on parcours les soporifiques souvenirs). Dieu qu'on s'ennuie... Les différents niveaux sont entrecoupés d'artworks moches qui ne collent pas du tout avec le reste de l'esthétique du jeu. Certains passages sont de véritables calvaires, celui "d'infiltration" dans l'avion est juste à gerber. Et encore, au vu des critiques que j'ai pu lire ça et là, il y a bien pire en terme de frustration plus tard dans le jeu (Vu que j'ai pas tenu au delà de la moitié du jeu). Où est le plaisir là-dedans?? Et non messieurs les développeurs, le fait de singer F.E.A.R à tout bout de champ avec des apparitions à la noix ne fait pas de votre jeu un jeu horrifique. Parce que vu la gueule des artworks, ça porte plus à rire qu'autre chose...

Très bon jeu Aventure / Réflexion / Plateforme (vers la fin) à la première personne. Il est pas facile et plutôt stressant (mais pas horrifique non plus). Chaque niveau a un thème et une ambiance qui lui est propre ce qui donne une expérience de jeu variée. Le scénar est pas mal du tout si on comprend l'anglais et qu'on se donne la peine de lire les documents récoltés.

Jeu sympathique au style graphique simple mais original, et avec des effets soignés. Malheureusement l'aventure se révèle au final trop courte et on ne reviendra pas dessus, d'autant plus que certains niveaux sont très mal fichus ou beaucoup trop courts (= inintéressants). Au final, je ne recommande pas ce jeu, faites-le vous offrir !

Ayant comme thématique la numérisation de l'âme dans le cloud, on pouvait s'attendre à un développement intéressant, même si l'histoire démarre relativement bien, elle va se ramasser lamentablement par la suite... Alors oui le début est vraiment pas mal, avec des énigmes simples mais agréables, des décors magnifiques, un bonne optimisation du moteur unity, malgré quelques galères pour activer certains éléments, notamment dans la salle de peinture. Le premier quart du jeu est bon. Avec une mention spéciale pour le niveau de l'avion qui m'a donner quelques sueurs froides. Cela à été positif car c'était court et intense. Mais par la suite c'est une catastrophe, déjà au niveau scénaristique on est complètement perdu, rien ne se tient, cela n'a tout simplement pas de sens. Notre âme est numérisée, les serveurs tombent en panne, soit, jusque là ça va. Mais à quel moment cela justifie des sons stridents et que des petites filles surgissent d'endroit improbable ? Pourquoi les souvenirs de l'héroine doivent être si sombre, si glauque, si effrayant ? C'est a dire que les jump scare, ça va un moment, mais là, on y a droit dans chaque niveau ! Et puis le coup de la bibliothèque labyrinthe éclairée uniquement avec une lampe torche et des cris du violons à chaque virage, c'est lourd, c'est même fatiguant... La pilule serait beaucoup mieux passée avec des niveaux en alternance (détente/angoisse). La plage est le seul qui fait vraiment le contraste, mais qui ne dure pas plus de 5 min sur 5h de jeu... C'est sans compter l'incontournable hôpital hanté, on passe par tous les clichés ! Avec les petites filles qui surgissent pour mieux disparaitre. Vous le voyez le rapport avec la sauvegarde de l'âme et le plantage des serveur ? Et bien moi non plus... Cette association numérisation et horreur de prend pas. Je ne retiens même pas l'énigme du cimetière, qui est carrément impossible à trouver de manière logique... Non, la vraiment, le scénario qui collerait avec ce jeu serait plus lié à une patiente d'un hôpital psychiatrique, bien anxiogène, avec un bon gros délire de persécution, des traumas durant l'enfance, et beaucoup de drogue. Et là, elle tenterait de combattre ces troubles qui envahissent ces souvenirs. Là a la limite ça passe. Et a ce moment là je n'aurais pas acheté le jeu...

Dieu sait comme les Dear Esther-like sont nombreux sur steam. Dieu sait aussi à quel point je n'ai pas aimé l'original. Hypocrite d'en recommander une copie ? Oui. J'assume. La cohérence de nos jours, c'est surfait. Master Reboot a tout du jeu auquel vous ne voulez pas jouer : techniquement à la rue au point de parfois ne carrément pas avoir de textures (oui mais vous comprenez, c'est arty), il se cache derrière son concept de jeu d'aventure et d'exploration pour justifier un gameplay basique façon projet universitaire en free 2 play. Si encore ses énigmes étaient au niveau, mais non. On se contentera le plus souvent de fouiller les lieux pour trouver un objet à utiliser sur un élément du décor. Entre temps, on partira à la recherche de petits canards bleus hautement symboliques (que d'originalité) qui contiennent tous un indice, une miette de scénario. Le truc le moins excitant depuis le dernier fantasme lesbien impliquant deux [i]girls[/i] et une [i]cup[/i]. Enfin, son level design est bipolaire : soit confiné et en ligne droite, soit labyrinthique pour grossir artificiellement une durée de vie pourtant anorexique (comptez moins de quatre heures pour en voir le bout en prenant le temps de vous perdre). Les mille et une voies de la facilité concentrées en un seul développement. Master Reboot, c'est un esprit de traître dans un corps de lâche. Peut-être est-ce à cause de l'AVC que je suis en train d'avoir en écrivant ces lignes, mais je suis satisfait de mon achat. Pire, je vous conseille d'y jeter un oeil. Parce que Master Reboot, derrière ses airs d'épaisse brume allégorique qui ne dévoile jamais rien, a en fait un scénario porté par une idée forte dont il livre toutes les pièces pour complètement le reconstituer. Pas une fable mystique et floue écrite pour séduire les poètes ratés du dimanche mais un jeu intelligible qui nous raconte une histoire touchante. Le scénario mélange habilement sentiments humains et science-fiction. On découvre pas après pas un vrai concept narratif, effroyablement crédible à une époque aux portes du transhumanisme et du tout technologique, qui mérite d'être lu, vu et entendu. Malgré des graphismes dépouillés (fainéants ?), le titre de Wales Interactive réussit à cumuler les ambiances et nous offre en spectacle de véritable trouvailles visuelles qui participent au charme du voyage. On traverse cette expérience avec la même satisfaction que celle d'avoir regardé Lovely Bones jusqu'au bout quand bien même on se serait fait chier tout le long. Une aventure que ceux qui n'ont pas peur des archaïsmes devraient essayer ne serait-ce que pour enrichir leur expérience vidéoludique d'images et d'idées neuves. A tenter, pour tout un tas de bonnes mais surtout de mauvaises raisons. Jeu intégralement en anglais. A part le mot "canard" qu'on retrouve écrit en français une fois dans le jeu. Ca va être un peu chaud si vous n'êtes pas bilingue.