Avis sur Lion King Simulator

Un simulateur de lion, franchement, ça a de la gueule, non ? et bien preparez vous au retour à la réalité. Vous incarnez un lion (jusque la, logique) et vous devez chasser des zèbres (là aussi, ça se tient), le tout en évitant certains prédateurs (j'ai croisé un éléphant, un crocodile et un rhinocéros). En gros, vous êtes largué dans une paine immonde et devez courir vers une proie grâce à la boussole et l'attaquer sans vous faire repérer. et c'est la que le crique commence on bouge notre roi des animaux avec les fleches du clavier. jusque la, logique. MAIS, comme on le voit sur les photos, il y a des boutons rouges a droite (interface mobile) avec des griffes et un chat qui saute. Si vous cliquez sur ces boutons, le lion attaque ou saute. MAIS !!! ces boutons ne servent en réalité a rien pour le déroulement du jeu. il faut se rapprocher dans le dos du zèbre, un bouton ramper apparait, vous cliquer dessus, avancez encore un peu et un bouton pour sauter et tuer directement votre cheval noir et blanc avec une absence d'animation absolument somptueuse. voilà, vous l'intégralité du gameplay de lion king simulator, tres ergonomique (apres tout, il n'y a pas assez de touches sur un clavier). les 10 niveaux se passent dans la meme plaine, les zebres et ennemis sont posés au même endroit. Ce qui différencie les niveaux est le timer plus ou moins sérré et le nombre de zebres a tuer (entre 1 et 5). D'ailleurs, le dernier des niveaux est impossible, le timer est bien trop court. Vous arriverez a ce niveau au bout d'une petite demie-heure, courage ! On ne compte pas le nombre incroyable de bugs (essayez de percuter un zebre en pleine vitesse, vous le verrez, ainsi que votre protagoniste courir avec le dos par exemple). A la fin de chaque niveau, on vous voit apporter fierement votre proie aux 3 bébés lions qui ont exactement la même tronche que vous en plus petit, avec la meme animation. Bref, un sacré nanar vidéoludique. Pour 4 euros, non, pous quelques centimes, oui. Sincèrement, j'ai bien rigolé devant tant d'incompétence.