Clair Obscur: Expedition 33 - Graphiques & Statistiques Steam

Il monte simplement sur mon podium personnel des meilleurs jeux auquel j'ai pu jouer. On s'attache aux personnages, à l'univers, et le gameplay classique du RPG tour par tour est twisté par les esquives/parades, et c'est frais!

Clair Obscur: Expédition 33. Pour ceux qui viendront après. A titre personnel cela faisais bien longtemps qu'un jeu ne m'avais pas autant plu, j'en suis quasiment tombé amoureux.. L'histoire est superbement écrite, a la fois profonde et bouleversante, agrémenté des journaux que l'on trouve à travers la map et qui nous apprenne un peu plus sur ceux qui nous ont précédés. Le gameplay est lui aussi très bon, les combats au tour par tour son réussi, les phases de contres et d'esquives apporte un petit plus non négligeable. Le monde est très beau lui aussi, à l'image d'une peinture, il est très plaisant de s'y promener à l'intérieur et d'explorer ses secrets et sa magie. Le système de "Pictos" et "Lumina" fonctionne assez bien pour se construire des builds qui nous correspondes ou très optimisé pour ceux qui souhaiterons être au top a chaque combats, chaque boss, chaque phase. L'écriture des personnage est elle aussi belle et bien amené au fur et à mesure que l'histoire avance et ils devienne tous très attachants, même François.. Un des derniers point dont il faut parler se sont sans aucun doute les musiques, les OST qui sont simplement une merveille auditive, et plutôt d'écrire de long pavé le mieux est encore de l'écouté et de la vivre.. Si je devais trouver un point négatif serais le moment plateforme qui sont souvent rageante, et demande de la patience, mais qui sont plus des "zones" ou "jeux bonus" En résumé Clair Obscure Expédition 33 est un jeu incroyable que je recommande les yeux fermé, il fais parti de ses jeux qu'on souhaiterais oublié pour les refaire et tout redécouvrir.

Artistiquement parlant, c'est franchement incroyable. Peu à redire là-dessus, je vais probablement écouter l'OST un nombre de fois incalculable hors du jeu. Côté gameplay, j'apprécie si fort le retour des questions de rythmes / QTE pendant un rpg au tour par tour. Cela me manquait tant depuis Shadow Hearts, Legend of Dragoon et les quelques autres jeux plus niches qui le faisaient il y a de cela plusieurs générations de consoles.

Thanks for this masterpiece I cried with my soul all along For those like me that know what a loss feels that powerless feeling this game is both a painting & writing masterpiece To those who made it i thank you deeply you part of this masterpiece forever

Une véritable œuvre d’art, dépeignant un univers sombre, empreint de tristesse, de destruction, mais aussi de création — le tout sublimé par une direction artistique à la perfection. Les thématiques abordées dans Clair Obscur : Expedition 33 sont écrites avec une finesse remarquable. Le jeu pousse à la réflexion, évoquant des philosophies qui font écho avec notre réalité. Il s’agit bien plus qu’un simple divertissement, c’est une aventure introspective, une expédition authentique accompagnée de personnages charmants, écrits avec soin, dont on se souviendra longtemps. Ainsi qu’une équipe de développement très admirable, à qui revient tout le mérite de ce succès.

C'est le Final Fantasy que l'on attendait tous et toutes. Et c'est français en plus.

Avis sur le jeux, sans spoilers nous ne somme pas des chien de poubelle couvert de pustules. - Évidement que la musique et fantastique mais sa tout le monde et au courent ! - Le scénario prend le temps, il et bien écrit et avec soin. La pour le coup c’est surprenant, agréable et clairement pas couru d’avance (Hein FF16). J’ai aimer le tour par tour, alors que de base je déteste. Même en l’absence de reflex que tout être a de base... - J’aimerais relever quelque chose qui et rare dans les jeux ! C’EST QUOI SES DIALOGUES ! On dirait des vrais personnes qui se parle ! Les intonation son juste, les mots choisit également, sa se coupe la parole. Les personnages sont HUMAIN et sa fait du bien c’est aussi qualitatif qu’un film. Les petites mimique et tic de gestuel son des petit détails qui change tout. Et il y a des émotion dans leurs yeux c’est fou ! Il on pas un ballet dans le cul quand il discute et sa c’est cool. - Les boss son cool et très bien introniser, les finish son du caviar pur ! Il faut bien passer au défaut, fait chier ! Les deux seul défaut que je trouve au jeux c’est l’absence de partenariat Kleenex car en vrais il y avait besoin, gros mauvais point. (Vous ait fort putain) Et secondo les phase de plateforme : j’ai essayer j’ai perdu plus vite ma santé mentale que contre Malénia. C’est améliorable pour rendre sa plus réactif et moins frustrant. Par chance pas besoin d’avoir un BTS platforming pour finir le jeux.

Une immersion bouleversante, un chef‑d’œuvre d’émotion et de technique. Dès les premières minutes dans Clair Obscur, j’ai été saisi par la puissance narrative et l’intensité visuelle de ce bijou vidéoludique. Rarement j’ai ressenti une telle communion entre personnage, univers et joueur. Ce jeu ne se contente pas de raconter une histoire : il te la fait vivre. - Transmission des émotions Ce qui m’a le plus marqué, c’est la capacité du jeu à transmettre les émotions de ses personnages de manière viscérale. Chaque regard, chaque hésitation, chaque inflexion de voix – tout résonne avec une justesse incroyable. Le protagoniste, dont on suit l’introspection et le parcours émotionnel, se révèle au fil des chapitres. Je suis passé du désarroi à l’espoir, de la colère à la tendresse, et tout cela sans artifices boursouflés : juste de l’émotion pure et sincère. Les scènes de dialogue sont d’une intensité rare. Il y a ces silences chargés de sens, ces plans fixes légèrement tremblants qui capturent l’âme du personnage. Le jeu te fait ressentir, profondément, ce qu’il traverse. - Graphismes et direction artistique Graphiquement, Clair Obscur est un chef‑d’œuvre. La patte visuelle oscille entre réalisme et esthétique presque picturale. Les jeux de lumière – essentiels dans un titre aux ambiances contrastées – sont exceptionnels. À la lumière d’une bougie, dans l’ombre d’un couloir ou face au soleil couchant : chaque scène est sublimée. La presse spécialisée a déjà salué le soin apporté à la direction artistique. Personnellement, je suis tombé sous le charme des décors en clair‑obscur, où les détails fins – motifs muraux, fissures sur les murs, reflets sur le sol – viennent enrichir l’immersion. - Bande‑son et mise en scène Impossible de parler de Clair Obscur sans évoquer sa bande‑son, qui se fond parfaitement avec la mise en scène. La musique épouse les émotions du récit : minimaliste dans les moments de tension, lyrique lorsque l’émotion explose. Les bruitages, quant à eux, participent à créer une atmosphère intimiste, bouleversante. Les transitions entre plans, la réalisation subtile façon cinéma d’auteur, la cadence intelligente des séquences – tout concourt à un rythme millimétré, parfaitement dosé. À aucun moment on ne s’ennuie, et chaque scène, même la plus silencieuse, vibre. - Mécaniques et gameplay Le gameplay est discret – intentionnellement. Il est là pour servir le scénario, jamais pour distraire. C’est un point souvent souligné par les critiques : pas besoin de mécaniques envahissantes, simplement des interactions significatives avec l’environnement, quelques choix qui résonnent dans le fil des dialogues, et des séquences contemplatives qui laissent respirer l’histoire. Cette sobriété est une force : elle place l’émotion au centre de l’expérience, comme dans un roman visuel, mais enrichi d’un univers interactif riche et maîtrisé. - En résumé Clair Obscur est cette perle dont on se souvient longtemps après avoir éteint son écran : Parce que tu ressens l’histoire, pas seulement tu l’écoutes. Parce que chaque image est composée comme un tableau, chaque note de musique choisie avec soin. Parce que la technique et l’émotion avancent main dans la main, sans compromis. Parce que c’est un jeu qui respecte ton intelligence et ton cœur, pour t’offrir une expérience humaine, fragile, inoubliable. Si tu cherches une aventure narrative qui te cloue sur place, qui te bouscule, qui te rappelle pourquoi tu joues, ne cherche plus : Clair Obscur est un chef‑d’œuvre. Un titre à placer dans ta bibliothèque aux côtés des œuvres qui comptent. Ne passe pas à côté.

Excellent jeu que j'ai ENFIN pu réussir à terminer. Combien de jeu démarre-t-on et ne finit-on pas, faute de temps, faute d'envie ... Celui-ci bien qu'il m'ait pris plusieurs semaines, j'ai accroché du début à la fin, quand bien même j'aurais pu être attiré par d'autres sorties de jeux, j'ai croché jusqu'au bout. Toutefois, bien que le jeu ne soit pas parfait, l'immersion est excellente, on notera en particulier : + La musique, qui est certainement le gros point fort du jeu. Et je ne parle pas que des musiques qui circulent sur les réseaux sociaux et que tout le monde a entendu, mais même les petites musiques que l'on retrouve dans des zones isolées, dans les combats ... Un vrai plaisir. Elles apportent énormément à l'immersion du jeu, au rythm et à la satisfaction ressenti lorsqu'un contre est parfaitement réussi. Ces petites musiques qui peuvent généralement passées inaperçu, si on s'arrête juste rien que 30 secondes au début d'un combat avant de le démarrer, on se rend compte qu'elles mettent une ambiance incroyable et dépeignent bien ce contre quoi on se bat. (personnellement, la première musique de combat dans l'océan suspendu est ma préférée ;)) + Les graphismes sont excellent, sans être parfait. L'environnement est incroyable, en particulier en ce qui concerne les détails de ce dernier. Concernant les personnages, l'animation est très bien faite, même si on notera parfois quelques petites imperfection, mais bon, ce n'est pas la perfection que l'on demande, mais une capacité à nous imprégner des émotion de chaque personnage, et en cela tout a été fait d'une main de maître. + Le gameplay sans être innovateur, reprend vraiment les meilleurs éléments de divers jeux. Du tour par tour, laissant le temps à la réflexion mais ajoutant une possibilité de contrer/esquiver, rendant le tout dynamique afin que le joueur ne s'ennuie jamais. Réussir à contrer complètement un combo ennemi apporte une satisfaction incroyable ... Un tel plaisir qui fait que l'on en redemande. Ainsi on commence à grinder sans s'en rendre compte parce qu'on devient accroc à la mécanique de contre donc on enchaine volontiers les ennemis et on apprend petit à petit les différents patterns des ennemis. + Une histoire très prenante ... Des dialogues captivant ... Une émotion transmise à la perfection ... Qui n'a pas versé au moins une larme durant l'aventure ? Qui n'a pas ris au moins une fois ? Qui n'a pas été pris d'une envie de venger ses camarades ? Qui n'a pas été heureux de réussir un combat, avant de se rendre compte que le pire était encore à venir ? Ce jeu apporte son lot d'émotions et un lot varié ... Certes l'univers est triste, certes tout semble perdu ... Et pourtant en début de cette ambiance sombre on retrouve des petits moments de bonheur, des touches d'humour qui nous feraient presque oublier les difficultés que les personnes ont vécus et qu'ils sont encore sur le point de vivre ... En cela, l'immersion est incroyable, on partage les sentiments des personnages, on se croirait vraiment dans l'univers. On notera toutefois quelques éléments parfois ennuyeux et moins plaisant, mais comme mentionné plus haut, ce n'est pas la perfection que l'on cherche, mais un équilibre plaisant de plusieurs élément, nous permettant pas uniquement de nous amuser, mais de vivre l'aventure, de nous échapper, de réellement vivre quelque chose d'unique, quelque chose qui nous fait nous demander "est-ce que c'était vraiment un jeu ? J'ai l'impression de l'avoir vécu". - Parmis les éléments un petit peu casse-pied on notera notamment le fait que le personnage, lors des déplacement, se bloque facilement contre des "cailloux", cassant le rythme du déplacement. Bien que cela soit minime, c'est parfois un peu pénible de devoir faire un petit virage pour pouvoir continuer à courir. - Beaucoup de skills, tous avec des effets visuels incroyable, on notera tout de même que les capacités de soin au final ne servent en fait pas à grand chose ... En endgame, les soins sont prodigué par d'autres moyens et les ennemis auront tendance à taper tellement fort que ce n'est pas un petit soin qui va nous sauver la vie. Le problème aussi c'est qu'on aura tendance à se concentrer en permanence sur les mêmes skills, qui fonctionnent très bien je ne dis pas, mais par conséquent d'autres compétences tout aussi intéressante peuvent passer à la trape et être oublié ... Venant à questionner parfois leur réelle utilité (si ce n'est au tout début parce qu'ils sont dévérouillés rapidement et qu'ils coûtent peu de PA). En conclusion, ce jeu m'a tellement pris aux tripes et au coeur ... J'en étais encore tout déboussolé une fois celui-ci terminé. La fin m'a mis une claque ... J'ai été contrain de me changer les idées pour m'en remettre =). (le whisky, aide pas mal ;)) Je recommande plainement ce jeu. Une vraie perle comme on n'en fait que trop peu.

Un estie de bon jeu comme on dit au Québec. Salutations a mes cousins Français pour avoir donner un coup de pied au cul de l'industrie du jeu. J'ai commencé avec un Commodore 64, et ça doit faire au moins 20 ans que n'avais pas ressentie autant d'émotions dans un jeu vidéo. La musique est sublime. Merci, merci, merci!