Avis sur Serpent in the Staglands

RPG très ordinaire ...

Un très bon jeux! je recommande aux amateurs de Baldur gate , un monde ouvert ou les lvs des ennemis ne sont pas balancés. -J'aime bien l'approche ou il faut noter soi même les quest j'ai trouvé ça compliqué au début, je n'ai jamais eu l'habitude :) --Un Gros + à mentionner : il n'y a pas une 20 de buffs a caster avant les combats comme dans Baldurs Gate !!! 1 seul par perso max! ( j'en cast 3 seulement par combat ) :) -le seul point négatif c'est le temps de loading des saves et des changements de cartes. Je suis déja fan de Whalenought ! je vien d'apprendre qu'il vont faire une suite, j'en suis ravi!

The game starts out decently well but falls short very fast. You can get killed by foxes, which in terms of realism leaves much to be desired. Also, you're supposed to be a god but your great priest won't give you neough money to buy decent equipment to start with... When your opponent attacks from the north, you won't be able to see them in combat, meaning that combat, which is real-time, requires you to spot a pixel in order to interact. You can pause, but combat is really fast so it doesn't help much. Then you die in five seconds. Loading screens are slow,auto save sends you right back before changing location so you have to wait again loading the area after loading the game... I find combat so unpleasant that the game is unplayable.

Serpent in the Staglands est un excellent jeux de rôle. Je le recommande à tous les amateurs du genre. Il s’agit d’un RPG en temps réel avec système de pause, qui se veut très rétro. Ceci est complètement assumé. Il s’inspire des jeux vidéos du même genre du début des années 90. Le scénario est assez inhabituel. On est loin des classiques du genre. Le joueur incarne un dieu piégé dans le monde des mortels. Il ne sait pas qui l'a piégé ni pourquoi. Il va errer et explorer le monde de Staglands (d’ou le titre du jeu). L’univers dépeint ici est relativement sombre, et empreint de méchanceté. On est ici face à un jeu assez mature. La direction artistique est vraiment très réussie je trouve. Les décors, les sprites des personnages, les portraits de nos compagnons, sont très réussis et collent parfaitement à l’univers du jeu. Le jeu met en scène plusieurs races, avec de nombreux conflits entre elles (présent et passé). J’aime vraiment le fait que l’on ne soit pas dans un univers classique et générique de la fantasy. L’univers est propre au jeu et les factions distinctes rendent le jeu unique. C’est vraiment pour moi un gros point fort du jeu. Les ennemis rencontrés sont également très bizarres, à l’image des personnages. Du point de vue du gameplay, on pourra incarner un héros et des compagnons qui sont issus des différentes races, qui sont toutes très différentes. Le jeu propose au début un système de création libre pour vos personnages. Pour chaque race disponible, trois archétypes sont disponibles, la encore très différents, ce qui multiplie les possibilités. Une alternative possible est de démarrer l’aventure avec un seul personnage, puisque tout au long de l’aventure, vous aurez la possibilité ou non de recruter certains compagnons croisés sur les terres de Staglands. C’est une option tout à fait viable car les recrues dans l’aventure sont très intéressantes et ont quelques pièces d’équipement. C’est même l’option que je recommanderais pour une première partie. Ensuite, Serpent in the Staglands repose sur une mécanique d’exploration. Vous errez dans un monde qui vous est inconnu, à la recherche de réponse. Vous pouvez vous promener librement. Le jeu ne vous prends pas par la main. Vous ne disposez pas de journal de quête. Vous n’avez pas de marqueur sur la carte vous indiquant ou aller. C’est volontaire. Vous êtes libres. C’est une grande richesse du jeu. Du côté de l‘équipement, en plus des traditionnels épées, dagues, haches, masses, arcs, arbalètes... le joueur va pouvoir manipuler quelques armes inhabituelles comme le fouet ou les élixirs (des potions dans un sac sont employées comme projectiles). L’équipement (casques, capes, boucliers, …) a une influence sur le visuel des sprites, c’est plutôt sympa. Les sorts et compétences sont eux aussi inhabituels (effets de certaines attaques magiques, polymorphisme, etc...). Certaines combinaisons fonctionnent bien ensemble. On sent clairement que le jeu trouve son inspiration dans le jeu de rôle papier. Les statistiques sont d’ailleurs exprimées sous forme de dés (comme dans un jeu de rôle papier : 4d2, 3d6...). Personnellement, j’aurais même aimé que les développeurs poussent le détail pour avoir un log plus détaillé permettant de voir l’ensemble de nos jets de dés. Le log qui nous est fourni est assez succinct pour des raisons évidentes de lisibilité. Le début du jeu est un peu difficile car les personnages sont peu équipés (la mort est définitive), mais aisément surmontable. Passé quelques heures de jeux, avec un groupe plus mature et mieux équipé, les combats deviennent alors plus simples. Pour ce qui aurait pu être amélioré, je pense que l’interface aurait pu gagner en visibilité, en ajoutant par exemples des tooltips. Je pense notamment à certaines statistiques d’équipement ou de personnage. Après, c’est rien de rédhibitoire. En réfléchissant un peu, on a toutes les infos nécessaires. Le jeu fournit par ailleurs un manuel qui contient des infos intéressantes, à la fois sur l’univers et sur certains aspects du jeu (statistiques personnages, pièces d’équipement, etc.). Ensuite, il n’y a pas de doublage des voix. Le jeu est réalisé par une équipe réduite et avec un budget limité. Honnêtement, pour un jeux de role, pour moi, ce n'est pas franchement un problème. Certains trouveront donc cela moins vivant côté ambiance sonore. A noter que je n’ai rencontré aucun bug dans le jeu. Le jeu est bien fini, ce qui est très appréciable. Le jeu est vraiment très intéressant et très riche, tant par son univers que par ses mécaniques de jeu. Il me rappelle Baldur’s Gate. Au final, je recommande vraiment Serpent in the Staglands à tous les amateurs de jeux de rôles. C’est un jeux qui fait réfléchir et qui se démarque vraiment des productions habituelles.

Serpent in the Staglands, jeu annoncé super old-school. Tient-il ses promesses ? Eh bien oui. Oui et oui. Voilà un bon résumé ! Détaillons... Tout d'abord, SITS ne vous prend pas par la main. Pas de livre de quêtes ici, pas de marqueur de quête, de carte annotable, pas de carte du monde en dehors du voyage rapide, pas d'indices hormis les lettres que vous trouvez et qui sont souvent sybillines. Old-school il l'est aussi par la présence très importante de puzzles, surtout pour ce qui a été la fin de ma partie. Et des puzzles pas des plus simples, vous pouvez me croire. Sur ce jeu, il sera utile d'utiliser votre cerveau, et d'être patient. Et le souci, c'est que sur internet vous ne trouverez aucune solution à ces puzzles, sauf pour ceux faisant partie de la quête principale. Pour les autres, bienvenue dans les années 90, quand internet ne vous donnait pas les réponses. Parfois SITS aura sa dose de frustration, mais oui c'est old-school. Old-school aussi, les déséquilibres dans le jeu. Les dégâts physiques me semblent nettement plus forts que les dégâts magiques, et de toute façons vos casters auront intérêt à soigner/buffer à fond sans quoi vous tombez très très vite. De la même façon, les skills ne sont pas tous aussi utiles et comme vous allez généralement jouer avec peu de skills en combat (3 skills utilisés en même temps au max), vous allez prendre ben les plus efficaces... Old-school le positionnement en entrée de map avec toujours vos persos les plus fragiles en première ligne (même si vous changez l'ordre de vos personnages) et du coup, quand il y a agro directe, ben vous la jouez en mode Benny Hill, ben oui les mobs défoncent vos persos à la vitesse de l'éclair, si vous n'avez pas une armure et un bouclier impénétrables. Par contre, quid de la difficulté ? Honnêtement, les premières heures m'ont paru difficiles car vous n'avez aucune idée d'où aller et vous allez donc en chier partout. Mais arrivés vers le niveau 4, et en route vers la bonne direction, vous allez trouver que tout va commencer à s'enchaîner et à partir de là, le jeu devient beaucoup plus facile. Oh bien sûr il y aura toujours des combats qui tourneront au vinaigre, mais ça sera généralement dû à un pull raté ou à un groupe d'ennemis qui décide de focus vos mages en se moquant totalement de vos tanks. Mais si vous pullez avec précaution, avec 1 max 2 mobs à la fois, et que vous les clouez avec vos CaC, ça devrait tourner très tranquillement. Je ne vais pas spoiler l'histoire du jeu, qui est tout à fait intéressante, bien que vous n'entriez dedans que vers la fin du jeu. Je concluerai en disant que SITS est, à mon sens, un mix parfait de Baldur's Gate 1 et de Fallout 1/2. BG car c'est essentiellement de l'exploration de zones avec peu de quêtes (qui rapportent peu d'xp), et F1/2 car c'est un jeu où les gens ne mâchent pas leurs mots et où règne une certaine violence, et où vous pouvez faire des choses vraiment pas sympas. Verdict ? Serpent in the Staglands est un excellent jeu, il m'a pris environ 40 heures et je m'y suis plongé avec un immense plaisir. Si vous aimez les jeux de rôle "à l'ancienne", vous DEVEZ y jouer. En ayant fait un Let's Play intégral sur Youtube, je vous invite à le découvrir et ensuite à l'acheter car croyez-moi il le vaut.