Avis sur Paper Sorcerer

un excellent jeu en tout point ! assez difficile et avec une bonne durée de vie, son seule défaut est d'être entièrement en anglais (et j'ai pas trouvé de patch fr) mais si vous vous débrouillez un peu c'est plutôt simple. Pour 5 euros c'est vraiment donné donc let's go !!!

Encore un jeu qui fait référence aux jeux à l'ancienne. La direction artistique y est pour beaucoup : vous êtes en vue F.P.S. dans un monde en noir et blanc, car vous êtes censé être enfermé dans un livre. On peut aux vénérables "Livres dont vous êtes le héros". Un peu de donjon crawling, un peu d'énigmes, l'autre originalité du titre tient dans le fait que vous incarnez le méchant qui cherche à sortir de sa prison, et les "héros" qui composent votre équipe sont en réalité des monstres que vous invoquez, là où les antagonistes seraient plutôt des "gentils" chevaliers, sorcies, gardiens etc. Il y a des bugs, les animations de combats sont très succintes, par moments le jeu montre ses limites. Mais restons bienfaisant envers lui : c'est qu'il est fait par une personne seule, et à ce jour il est toujours régulièrement patché. Conclusion : Un donjon crawler qui vous rappellera les "Livres dont vous êtes le héros", très sympathique quoique buggué.

Donjon-RPG old school assez addictif qui bénéficie d'une bande son bien sympa. L'extrême linéarité du titre est partiellement compensée par le caractère aléatoire des items collectés et les nombreuses classes d'acolytes qu'on peut choisir (demandant une certaine stratégie quant à leur complémentarité). Pour le prix ça vaut le coup.

Le jeu est cool mais ma sauvegarde s'est effacée après un crash. Et ça, c'est pas très gentil.

Un jeux de role tour de type dungeon-scrawler par tour à l'ancienne qui pourrait être assez banal et austère, voir inachevé : pourtant des graphismes, au système de combat tout est très ingénieux. Un jeu sympa pour se détendre 1h ou 2 de temms en temps. Comptez une vingtaine d'heure pour le finir en mode Normal ou Difficile la 1ere fois. Pour rajouter de la difficulté, je m'impose des règles supplémentaire : n'utiliser la pierre de teleportation seulement après avoir fini un boss, pour revenir en arrière chercher des passages secrets (ou si je suis coincé dans un passage secret), ne pas utiliser de consommables pendant les combats, et ne pas recharger la partie si le contenu des coffres me plait pas. Il n'est pas traduit en français mais le jeu ne contient pas beaucoup de textes, à part les fiches de personnages. je n'ai pas rencontré beaucoup de bugs contrairement a certains avis, à part les fois que j'ai sauvegardés dans des salles secrètes, dont je n'ai pas pu sortir au chargement (car toutes les portes sont réinitialisés à chaque chargement, et on ne peux parfois pas ouvrir les salles secrètes depuis l'intérieur, mais on peut toujours se téléporter au hub), donc prenez pas de risque, gardez bien votre sauvegarde à l'entrée d'un niveau "à part". Il faut aussi savoir il n'y a aucune sauvegarde auto, et les sauvegardes manutelles ne sont pas chargés dans le cloud ! pensez donc a faire des backup manuelles, à partir de C:\Users\\AppData\LocalLow\UltraRunaway\Paper Sorcerer Quand à la composition de l'équipe, veillez a former un groupe complémentaire qui couvre un bon équilibre entre dégats, tank, buffs, debuffs, soin, magies élémentaires, et qui n'utilisent pas tous les mêmes armes et armures. Squelette / Sorcière / Vampire ou Abomination / Cultiste / Minotaure par exemple ca marche très bien dès de départ. En trouvant les orbres secrètes, vous aurez accès aux catacombes, et à la fin de certains étages vous pourrez débloquer d'autres de ces personnages. Plus le jeu progresse, les buffs/debuff prennent de l'importance et de la puissance, prenez ça en compte pour vos nouveaux personnages (ex : fantôme, gobelin, imp).

Projet un peut fou d'un Américain qui se concrétise sur kickstarter et évidemment Greenlight . Il décide de le faire seul , bien aider part une petite communauté apparemment qui l 'aide dans son projet le résultat final est Paper Sorcerer , un bon petit donjon Crawler qui n'on seulement reprend les meilleurs du genre mais ne se repose pas sur les lauriers de son aspect visuel et enfonce le clou par des mécanismes qui ne sont définitivement pas en reste. Les rouages des combats sont d'une consistance saisissante, bien stratégiques et intelligents comme il le faut avec notamment leurs systèmes de défense et d'énergie. Le panel des compétences et la flexibilité des compagnons font que les affrontements réstent toujours bien prenants et variés, malgré le fait qu'ils se cantonnent à de simples images statiques. La customisation des personnages, un peu limitée aux premiers abords, admet finalement suffisamment de subtilité pour préserver le plaisir de la progression et du crawling. Au final, les (vrais) amateurs des Wizardry devraient sans le moindre doute être conquis.

Le jeu est très bien. Cependant j'ai hésité à mettre un pouce vers le bas. Il est super buggé. Il faut sauvegarder après chaque combat pour être à peu près sûr de ne rien perdre. Et à la fin c'était tellement buggé que je n'arrivais même plus à avancer. Malgré tout j'ai bien pris plaisir à y jouer même en étant à 2 pas de la fin.

Un bon petit jeu à essayer entre deux gros jeux. Il y a de bonnes idées, et on sent la passion du développeur derrière. Malheureusement le jeu est encore très buggé et manque de contenu. Quelques bonnes heures à passer en somme.

Très bon jeu de rôle à l'ancienne. Le style graphique "papier" colle parfaitement à l'histoire et fait remonter les souvenirs des jdr papier de quand j'était plus jeune ^^ Le jeu donne au joueur un grand choix pour former son équipe, selon ses gouts et selons les difficultés rencontrés. Le prix est tout petit / Le jeu est vaste (secrets à trouver + beaucoup de cartes) Plusieurs modes de difficulté addapté pour les joueurs qui vont du casual au hardcore gamer.

Paper Sorcerer... ou comment allier concept old school et vision artistique originale. Réalisé par un seul passionné de A à Z, ce jeu est ce que l'on pourrait appeler une pépite de niche. Basiquement, il s'agit d'un dungeon crawler tout ce qu'il y a de plus classique : du porte-monstre-trésor des familles bien répétitif, qui donc ne s'adresse qu'aux amateurs du genre. Comme dans tout dungeon crawler "classique" qui se respecte, l'histoire est assez limitée : vous incarnez un ex-seigneur du mal enfermé dans un livre par une bande de héros et vous tentez d'en sortir, bien que dépossédé de la plupart de vos pouvoirs, en brisant une à une les attaches dudit bouquin qui se trouve chacune au fond d'un donjon. Un seigneur auquel il sera difficile de s'identifier étant donné l'absence quasi-totale de customisation (au mieux pourrez-vous décider du sexe de votre personnage). Là où les choses s'épicent, c'est que vous ne serez pas seul à arpenter l'univers du jeu. En effet, l'un de vos principaux pouvoirs en tant que seigneur du mal (outre le fait d'être un sorcier émérite) est de pouvoir invoquer des créatures. A certains palliers dans l'aventure, vous pourrez ainsi invoquer définitivement une créature parmi un large panel pour former jusqu'à une équipe de quatre ladres. Chacune d'entre elles peut jouer un rôle très précis et le nombre de combinaisons viables que l'on peut former est plus que satisfaisant. En ce qui me concerne, j'ai opté pour une équipe solide : un squelette en armure pour tanker, un vampire pour soigner le groupe en ponctionnant sur ses propres pv et un minotaure pour cogner comme un boeuf. Ne vous attendez néanmoins pas à pouvoir taper le carton avec eux ou à avouer votre amour à la sorcière; ce sont des minions, point. Vous leur filez de l'équipement, vous faites en sorte qu'ils survivent, vous pouvez vous attacher à eux... mais ils ont à peu près autant de personnalité qu'un ravioli trop cuit. Non que votre propre personnage en ait, car il a beau bénéficier de la même patte graphique particulière mais bien léchée que le reste du jeu, vous en apprenez si peu sur lui et ses dialogues sont si... communs (quoique bien écrits, si on prend en compte le fait qu'il s'agit surtout d'un type qui essaye de sauver sa peau) que vous ne pourrez que difficilement vous y attacher, encore une fois. Parlons de gameplay, à présent. Comme vous pouvez sans doute vous en rendre compte par les screenshots de la page du magasin, l'exploration du donjon se fait en temps réel, en vue à la première personne. Vous avancez, vous enclenchez des mécanismes dissimulés derrière des éléments de décors, et de temps à autre se tiendra sur votre chemin un ennemi sous la forme d'une brume noire qu'il suffira de toucher pour déclencher un combat tour par tour. Se déroulant de la même façon que ceux d'un rpg old-school à la dragon quest, ceux-ci s'avèrent particulièrement tactiques, car toutes vos créatures n'ont pas les mêmes ressources à gérer (armure, aggro, mana qu'il faut régénérer via des sorts spécifiques, etc) et le jeu ne garde mémoire des spécificités des ennemis que vous affrontez. A vous de faire preuve de jugeote et de mémoire, sous peine de tomber sous la lance d'un guerrier ou les boules de feu d'un sorcier. Même tarif pour l'exploration : aucune carte n'est disponible, et si il est aisé de se repérer avec un jeu configuré en difficulté facile, un papier et un crayon seront fort utiles au-dessus. A l'ancienne, j'ai dit ! Enfin, entre deux phases d'exploration, vous pourrez vous reposer dans une ville érigée par tous les parias enfermés dans le même livre que vous, des monstres auxquels vous pourrez acheter de l'équipement, des augmentations de caractéristiques; écouter des rumeurs sur le donjon en cours... ou même rencontrer un personnage qui sous une certaine condition vous laissera piller des catacombes pour encore plus d'exp et de trésors (à condition que vous surviviez aux bestioles qui y rodent, bien sûr). Au final, que vaut ce jeu ? Et bien tout dépend de ce que vous cherchez. A mon humble avis, Paper Sorcerer est un excellent dungeon-crawler, qui par son choix esthétique et ses mécaniques a su renouveler un genre dont on pensait avoir fait le tour depuis Dungeon of Grimrock. Ensuite, ladite esthétique ne plaira sûrement pas à tout le monde, et l'absence de scénario ou de réel dialogue encore moins. Mais pour les fans purs et durs, ceux qui ont du poil et qui retournent chaque caillou à la recherche du moindre secret, c'est un véritable régal. Je plaisante, même ceux qui voudront voir si ce genre de jeu est fait pour eux y trouveront leur compte dans les niveaux de difficulté moindre (comme moi). A ce prix-là, ce serait sot de se priver. Le ciel vous tienne en joie.