Avis sur Teslagrad

Ce jeu est une bonne surprise pour moi. Le niveau général est facile voir moyen, mais les boss sont vraiment sans pitié et la moindre erreur est fatale, j'ai donc ragequit plusieurs fois. L'histoire est raconté de façon très originale via des fonds d'écran ou des cartes à collectionner mais sans narration ou cinématiques. Le monde est divisé en plusieurs parties avec des univers graphiques très différents et très jolis. Le level design permet au joueur d'avancer dans le jeu asser rapidement mais quand même de se satisfaire d'avoir réussi les boss ou collecter les cartes histoires. Une très belle aventure.

Avez-vous déjà révé d'être un petit Russe coursé par de méchants soviets à vos trousses sans savoir pourquoi tandis que vous courez vous réfugier dans une tour hautement High-Tech, à la limite de la magie ? Certainement pas, mais c'est ce que ce jeu propose !

L'ambiance triste et sombre donne un genre unique au titre ! Les graphismes et le gameplay sont aux petits oignons. On regrette juste que ce jeu ne soit pas un réel "métroïd-vania". (dans l'idée où la progression un trop linéaire, on ne revient que très rarement sur ses pas avec une amélioration pour continuer l'aventure.) Même si le titre propose une difficulté assez bien dosée, la durée de vie du jeu reste assez courte. A découvrir !

Première évaluation négative que je poste sur Steam, pour un jeu pourtant pas si mauvais. Malheureusement, même si Teslagrad a de bons aspects (surtout les décors), il y a beaucoup de choses qui m'ont énervé, du tout début jusqu'à la toute fin. C'est un platformer 2D avec un Character Controller moisi, le personnage répond très mal aux inputs, et rien que ça c'est rédhibitoire. Les mouvements lents et fastidieux, et la hitbox approximative (et beaucoup trop grosse) du perso rend le monde désagréable à parcourir. Et qu'est-ce qu'il faudra le parcourir ! Aucun moyen de se téléporter, aucun déplacement rapide. Si vous voulez aller d'un bout à l'autre de la carte, vous être *obligé* de vous taper l'intégralité du chemin à pied. À chaque fois. Et tous les ennemis repop. Et tous les puzzles sont à refaire. Pour les collectionneurs comme moi, pas le moindre moyen de savoir quels objets manquent / où les trouver. Obligé de suivre un guide sur internet (ce que je déteste). Le jeu n'encourage pas du tout l'exploration, au contraire. Si vous tentez d'aller dans une salle, vous prenez le risque que la porte se ferme derrière vous, et hop, obligé de se retaper les dix dernières salles pour revenir où vous étiez. Les derniers collectibles étaient un vrai calvaire, le dernier boss dure des plombes sans raison particulière (il a trois mécaniques élémentaires qu'il répète en boucle, encore et encore). On sent que le jeu a été fait avec amour par des gens qui n'ont même pas les bases de Game Design. Grosse déception.

J'y ai joué à l'époque de sa sortie et me suis relancé pour une nouvelle aventure des années plus tard. J'ai passé un aussi bon moment. L'histoire de Teslagrad est vraiment touchante et très bien narrée. Le gameplay donne du fil à retordre, ce qui s'accompagne d'un vrai sentiment de satisfaction lorsque l'on passe certains boss (ou que l'on récupère enfin le parchemin 30). Vivement la suite !

Bon gameplay, ambiance sympathique. Dommage que la difficulté soit si gratuite par moment, ils sont rare mais quand on est bloqué c'est simplement "die nd retry", ça gache le plaisir général du jeu qui est poourtant exellent. Pour ceux qui ont des réflexes et des nerfs d'acier.

Teslagrad possède tous les ingrédients pour être un bon jeu. Malheureusement, son level design douteux et ses mécaniques de plateformes beaucoup trop flottantes rendent l'expérience vraiment rébarbative.

Je joue sur Linux. Version Linux : excellente. [h1]Le jeu[/h1] Un casse-tête à base de magnétisme, sous forme de platformer. Rien à redire sur les graphismes ou les animations, c'est basique et ça fonctionne, ce n'est pas désagréable. La musique de fin est excellente, le reste est passable. Chaque pièce comporte en général un puzzle, parfois plusieurs, qu'il faut résoudre pour avancer dans les niveaux. Il y a des parchemins à ramasser derrière des casses-têtes en général un peu plus compliqués. Ils sont parfois dans des endroits non-visibles par défaut, ce qui est un peu agaçant sachant qu'il en faut 15 pour accéder au boss de fin, et qu'il les faut tous (36) pour avoir la "vraie fin". Les casses-têtes sont souvent simples, parfois un peu plus complexes, mais rien qui vous laissera bloqué bien longtemps. Non, le principal adversaire dans ce jeu, ce sont les contrôles : le personnage "flotte" un peu, ce qui est particulièrement flagrant sur les phases en l'air. Il y a quelques boss, les combats ne sont pas très longs, mais il faudra vraiment apprendre par coeur les phases et se battre avec la manette encore une fois. Je pense qu'ils n'avaient pas grand chose à faire dans le jeu à part rajouter [strike]de la frustration[/strike] de la durée de vie. Un bon point toutefois : le jeu est entièrement muet, et parvient très bien à expliquer les capacités acquises au fur et à mesure, ainsi qu'une histoire complète. [h1]Rejouabilité, achievements[/h1] Chaque achievement correspond à un parchemin. Si vous avez tous les parchemins, vous avez tous les achievements. Je pense qu'il faut compter environ 7 ou 8h de jeu sans se presser, un peu plus si vous galérez sur certaines phases de "platforming" comme moi. [h1]En bref[/h1] Pas un mauvais jeu, mais pas spécialement bon non plus... toutefois je ne vais pas le recommander car il y a de biens meilleurs platformer casse-têtes à mon goût. [h1]GNU/Linux[/h1] La version Linux est excellente. Je n'ai rencontré aucun problème. J'y ai joué avec le Logitech F710 en mode XInput. Par défaut le jeu fonctionne avec le stick, je vous conseille, vu les contrôles en bois, de switch sur la croix directionnelle avec le bouton "mode". OS: Linux Mint 19.3 x64, MATE edition. Hardware : i7 7700K OC@5Ghz, Nvidia 1080GTX, 32GB ram. Screens : Dualscreen, 1x 4K & 1x 1920x1200, un seul screen X.

La première heure de jeu, Teslagrad a des airs de jeu amateur du pauvre mais mignon, toutefois plus le temps passe et les pouvoirs s'accumulent, et plus il est agréable à jouer. Alors certes, il reste un jeu qui fleure bon l'artisanat le plus complet (décors et animations que l'on jurerait faits main), mais sa courte durée de vie (7-10h) empêche tout temps mort et tout ennui : il en reste une impression agréable d'avoir parcouru un monde pittoresque (à la croisée des chemins entre moyen âge et débuts de l'électricité) à l'histoire convenue mais très bien mise en scène via tous les tableaux, statues, marionnettes et autres parchemins qui la racontent visuellement au fil de l'eau (aucun texte ingame). Côté gameplay Teslagrad est un jeu de plateforme assez classique avec toutefois sa petite patte qui le sort du lot. On joue ici sur le magnétisme : le + et le - deviennent le rouge et le bleu, à vous de jouer sur les attirances et les répulsions pour progresser. C'est assez délicat à prendre en main au départ, mais à 2-3 petites exceptions près le jeu n'est pas non plus très hardcore. De même 3 boss sur les 5 vous donneront un peu de fil à retordre, mais rien d'infaisable non plus. Ajoutez à tout ceci un petit pouvoir de téléportation rapprochée (en gros vous vous déplacez instantanément à 3-4 mètres devant vous) bien rigolo à manipuler, et vous avez là de quoi passer un agréable dimanche à farfouiller une tour et une map de type Metroidvania. Pas grand chose à dire de plus : c'est un joli petit jeu sans prétention et qui l'assume parfaitement, loin d'être désagréable.

En voila, un jeu qu'il est bon ! Un puzzle plateformer comme on les aime tant. On y voit un jeune homme, persécuté par le roi, se réfugiant dans la tour des Telsamancien, et l'on découvre avec lui un petit assortiment de gadget fort pratique, le tous dans un décors qui demande un temps de reflexion et un peu d'agilité. On se fraie donc un chemin à grand coup de magnétisme et de flashportation, que ce soit pour dégager la voie ou pour s'envoler. Cinq boss viennent s'ajouter à la partie afin de tester les réflexes, et la moindre erreur est fatal au petit héros. Il n'y a aucune cinématique dans le jeu, on y découvre l'histoire qu'au travers de petite pièce de théâtre disséminée dans la tour, ou par le biais des 36 parchemins à retrouver, ce qui ajoute un petit trais d'humour mignon.