Avis sur Heretic's Fork

pas mal

très bon jeu très addictif

Heretic's Fork est un jeu étonnamment amusant qui mélange habilement tower defense et gestion de carte. Le style rétro et l'humour noir apportent une ambiance unique qui colle parfaitement à son univers décalé. On prend plaisir à punir les âmes damnées en plaçant des tours et en optimisant ses stratégies pour empêcher les pécheurs de s'échapper. Cependant, un gros bémol vient gâcher l'expérience : le mini-jeu de Pong. Sérieusement, qui a eu l'idée tordue d'intégrer ça ? il rappelle à quel point on peut avoir des réflexes dignes d'une huître asthmatique. C'est frustrant :( Malgré ce détail rageant, Heretic's Fork reste une expérience fun et originale. On prend plaisir à gérer son petit coin d'enfer tout en faisant preuve de créativité pour torturer efficacement les pécheurs. Un bon jeu pour ceux qui aiment l'humour noir.

Vous jouer, vous êtes heureux, le jeux est fun, les musiques très cool, vous arriver a compléter vos services avec tout les subalternes puis vous débloquer le mode tourment. C'est la que l'enfer commence véritablement. Tourment 1 et 2 font monter la difficulté a un niveau encore acceptable... Arriver a tourment 3, votre châtiment commence. chaque erreur ou mauvais jugements aura de lourde, très lourdes conséquences. Tourment 4 hantera vos nuits. l'amusement prend fin a se moment la. l'erreur n'est a présent plus tolérer. chaque coup, chaque décision, chaque sacrifice, devra être fait en toute âme et conscience. car a la moindre hésitation les pécheurs fondrons sur votre tour tel une vague de haine et de désespoir insurmontable. Et si malgrer tout, vous avez tenu et que vous avez reussi a terminer un service en Tourment 4, alors la folie vous ouvrira les portes du Tourment 5. Et la vous vous mettrez a perdre encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore, et encore pour l’éternité... Car votre plus grand pécher, le pire de tous, a été celui de penser que vous étiez plus malins qu'eux, que vous étiez spécial et unique. Vous n’êtes qu'un simple employer, dont l’âme ne vous appartient déjà plus.