Life is Strange: Before the Storm Episode 3 DLC

👍

NAAAAAAAAAAAAAAAAn commment rachel a disparu dite le moiii je suis frustre mais le jeux est sublime j'ai adorer comme le premier j'ai plus qu'a me retaper le scenar, j'aime taguer

Magnifique comme toujours ! Incroyable travail ! Faut y avoir jouer pour comprendre l'ampleur de ce chef d'oeuvre.

Jeu toujours aussi magnifique avec une prestation de la part des doubleurs des personnages. Ce prequel est une merveille et la narration est très bonne. Jeu très beau et très immersif avec une excellente bande-son et des émotions joyeuse et tristes très bien gérer.

Toujours aussi prenant. On hésite sur les réponses ou questions tellement on s'attache aux personnages principales. On veut qu'elles s'en sortent indemme, et se n'est pas évident du faite que l'on connaît la tragique histoire de Chloé, Rachel et Max. C'est dur pour Chloé mais aussi pour nous autres. On s'intègre bien dans l'histoire, presque à s'imaginer que l'on est avec ses demoiselles, à leurs côtés pour les protéger. J'adore.

J'adore ce jeu que ce soir clair ! Mais l'épisode 3 est beaucoup beaucoup trop court !!! Soit l'équilibre entre les 3 episode est mal dosé soit vous ne saviez plus quoi mettre sur ce 3eme volet ce qui est tout de même dommage sur un jeu aussi magnifique. Donc la durée de ce 3eme volet est pour moi un point noir mais c'est le seul que j'ai trouvé, c'est juste dommage que ce soit au moment de finir l'histoire. Sinon l'histoire est sympa, j'adore toujours autant la musique et je suis triste de ne plus pouvoir jouer de nouvelles aventures dans cet univers (parce que là je ne vois pas comment vous pouvez rajouter autre chose) Si vous en refaite un du même genre, je l'achète !

Les scénaristes sont coupables de gâchis en plus d'être responsables de la castration des rêveries convoquées. Je précise que cette évaluation est un rejet de conscience, la monnaie réclamée par une banque intime dont les attributions sont connues de moi seul. On a eu droit à la plus belle fin jamais écrite pour un jeu vidéo avec The Last of Us, et voila que la plus mauvaise d'entre toutes s'est rendue publique auprès d'un public pressé de se voir accorder des analgésiques. Après avoir proposé un premier épisode vitalisé par des passions vives, suivi d'un deuxième épisode rembourré par les coquetteries maladroites d'une princesse anar' bourrée d'amour, voila que le troisième épisode fait la cour à de futiles fables fraichement servies par des têtes remplies d'idées à moitié vides. Un début de fête excellent, le menton levé et l'oeil attentionné ; une fin de fête agaçante, le nez bouché et le caisson penché sur les cuvettes encrassées. Oui, je suis déçu. C'est peu dire ! Cette histoire se termine par une escroquerie scénaristique digne d'un Cahuzac. Même Luc Besson passe pour un Flaubert à côté de cette confusion de foire toulousaine. Pourquoi faire appel à des deus ex machina quand de nombreux leviers scénaristiques sont en attente ? Surtout, pourquoi ignorer toutes ces pistes narratives accouchées par le premier Life is Strange ? Est-ce le stylo qui est frappé par un noeud ou bien les gyrus de celui qui le tient ? Et moi, tenaillé par mon imaginaire en effervescence, tout ce que je peux faire c'est laisser des mots sur mes maux ; consacrer la lutte passagère dans une chronique de la désillusion. J'ai d'abord été porté par le voile engendré, et voila que je tombe de ce tissu finalement déchiré. Misère de la narration ! J'ai pris les voiles et la tempête me rattrape. Et maintenant je vais devoir longer le bord de ma déception, tétée par la fournaise de mon insatisfaction. Le deuxième épisode annoncait la couleur, composé de deux tiers d'ennui. Pourtant la fin était remarquable, et l'interprétation de la Tempête séduisante ; les jolies scènes de théâtre et les scènes intimes sans théâtre embrassaient la mémoire de Shakespeare de qui elles s'inspirent. Les crispations du nerf amoureux, le coeur plein de tendresses et de maladresses. La mise en scène où les actrices récitaient, puis les deux filles en face à face, à l'abri du verbe ; aimer sans citer. "Il faut partir" disait l'une d'elles, serrant de son corps le lampadaire qui éclairait les phantasmes de sa belle, "on vaut mieux que cette ville de merde". Chacun se croit mandaté par un destin formidable, chacun voit dans sa vie la démonstration d'un signe spécial ; beauté banale. J'en attends encore l'aboutissement. Ce troisième épisode est une montagne plate d'où glissent les randonneurs en tongues. J'aimerais pouvoir l'effacer de ma mémoire et en rester à mon histoire de lampadaire. Mais j'ai été victime de l'escroquerie que j'évoquais plus haut. Initialement, c'est l'esprit contemplatif qui est sollicité. En nommant une trajectoire, les scénaristes détruisent la poésie de la divagation qu'ils ont amorçé comme base dans le premier épisode. Ce faisant ils mettent à jour une incompétence de réflexion qui était jusqu'alors masquée par une rêverie implicite. D'une part, donc, ils n'auraient jamais dû abondonner la formulation d'une histoire en tant que création et démonstration d'un lyrisme proprement psychique. D'autre part, le champ des possibles offert par Life is Strange a été bêtement écarté pour faire aboutir des résolutions jumelles aux happy ending américains stockés parmi les rations givrées du congélateur. Prenez le temps d'examiner votre goût pour les surgelés, bave de scénaristes. Vous êtes coupables de gâchis. Et moi je suis coupable de ne pas créer ce que j'attends des autres. Il serait peut-être temps que je retrousse mes manches et retrouve mon stylo à plume.