Avis sur Brink of Consciousness: Dorian Gray Syndrome Collector's Edition

bon jeu de hidden object

tres tres bon jeux

J'ai aimé ce jeu, disons que tu en as pour ton argent car il faut pas mal de temps pour résoudre les égnimes. Comme j'achète ces jeux justement pour cela, j'apprécie la variété des défis. Ici il y en a eu plusieurs et j'ai passé du bon temps à rédoudre le tout. Pas de bogue tout se déroule très bien. Le jeu parassait foncé au début (manque de clarté) mais en jouant on s'y fait et on fini par trouver tout ce qu'on cherche.

Que'est-ce que je me suis ennuyé !!!!!!! Bon rendons justice à ce jeu, les mini-jeux et SOC sont très bien. Perso je préfère les SOC un peu plus colorées mais l'ambiance graphique de ce jeu est plutôt dans le délavé terne, donc normal. Les SOC sont du genre avec une liste de noms d'objets dont certains ne seront accessibles que par une petite manipulation. Classique et bien fait. Les mini-jeux sont variés et de difficulté très varaiable, il y en a pour tous les goûts donc sur un ou deux on s'ennuie, sur un ou deux on sèche et sur la majorité on s'éclate bien. Au rayon totalement subjectif j'ai bien aimé la patte graphique et la bande son passe bien. Bah oui mais alors pourquoi une éval négative ? J'y viens. La partie point&click est une horreur. Des kilomètres à errer dans un manoir gigantesque pour aller a) ramasser un objet "caché" qui se voit gros comme le nez au milieu de la figure et dont l'usage est évident b) parcourir des kilomètres dans un manoir gigantesque pour revenir là où l'objet évident doit être évidemment utilisé, c) utiliser l'objet évident sur le truc avec lequel il va évidemment d) parcourir des kilomètres dans un manoir gigantesque jusqu'à être en situation de reprendre au point a) C'est sur qu'à ce régime on a du temps de jeu, sauf que c'est du temps d'ennui. Il y a bien une carte mais sans voyage rapide et qui n'indique pas les endroits où agir mais les endroits "intéressants". Armez-vous d'un thermos de café et d'un bloc-note. L'histoire est... euh... Alors, je pars sauver ma copine enlevée par un méchant. Oui et ? Et ? Allo ? Ah non, c'est fini. Rassurez-vous histoire de nous farcir les oreilles chaque fois qu'on rentre dans une pièce un haut-parleur nous débite les inepties d'un psychopathe de série B, ou C ou... on va dire Z. Un instant j'ai cru qu'une fin autre que le sempiternel happy end de ce genre de jeu allait me surprendre mais non, encore raté. La bonne nouvelle est que le chapitre bonus est bien meilleur sur l'aspect point&click. Par contre on se farcit encore et encore le haut-parleur avec le frappadingue pénible. Et pour jouer ce chapitre ce n'est pas dans les bonus mais en allant sur jouer sans aucune indication particulière. J'ai cru redémarrer l'aventure de base et j'ai failli le rater, alors que ce fut mon meilleur moment sur ce jeu^^

Brink of consciousness : Dorian Gray syndrome est un HOG des plus intéressants et ce à plusieurs titres. Déjà de part son scénario, l’histoire d’un dénommé Oscar qui enlève votre fiancée suite à un article que vous avez rédigé pour votre journal concernant une série de disparition de jeunes gens et vous propose dans une lettre de venir la chercher dans un manoir. Commence alors une partie du chat et la souris qui, malheureusement, pour notre personnage n'est pas à son avantage… ,et dans le genre retors, Oscar est un maitre en la matière. Alternant entre puzzles et scènes d’objets avec une pléthore de pièces aussi bien en intérieur qu’en extérieur, autant dire que vous allez en faire de la marche. Et pour une fois, les décors collent parfaitement à l’ ambiance, ils ne sont ni chargés d’objets en tous genres ni incohérents et rajoutent beaucoup au côté pervers d’Oscar. Si la carte ne vous permet pas de vous transporter directement à un endroit précis, elle permet toutefois de voir les lieux dignes d’ intérêts. Il est à noter que la traduction française pour une fois n’a pas été effectuée à « l’arrache » et est très bien faite. Je n’ai que deux points de regret si on peut dire… Le premier concerne le background d’Oscar même si ce n’est pas le but premier du jeu j’aurai aimé avoir à découvrir plus de renseignements sur l’antériorité de ce personnage. Le deuxième est également subjectif mais personnellement je trouve que la vidéo de fin aurait mérité une meilleure réalisation, un côté plus « film »… Ces « regrets » sont tout à personnel et n’enlève rien au plaisir de suivre cette histoire surtout qu'il s'agit là d'un très bon jeu.

Dorian Gray Syndrome (DGS) est, selon moi, dans la moyenne supérieure des jeux de sa catégorie. - Dans la moyenne pour les graphismes, mais, une fois de plus, on n’aura pas mieux à ce niveau de réalisation et pour le prix, c’est déjà pas mal :-) Dans la moyenne pour le scénario, pauvre, qui n’est qu’un decorum qui sert de prétexte à une longue suite d’allers et venues entre des scènes, des puzzles et des SOC. Mais, là encore, c’est le genre qui veut ça. Le vrai scénario consiste à résoudre toutes les énigmes (SOC et puzzles) pour empêcher le grand méchant de produire son œuvre maléfique ; c’est-à-dire exactement la même chose que 95 % des autres jeux d’objets cachés. La moyenne aussi pour la logique – ou plutôt absence de logique – toujours un peu étrange dans ce genre de jeu. - Si je le place en moyenne haute, c’est principalement en raison de la difficulté des puzzles et des SOC. Les premiers m’ont demandé beaucoup plus d’acharnement et de réflexion que pour la plupart des autres jeux de ce type que j’ai terminés. Malheureusement, c’est en partie dû aux énoncés qui sont, trop souvent, incompréhensibles car peu explicites. Une fois sur deux, il faut tâtonner pour comprendre de quoi le puzzle retourne. Les SOC sont assez difficiles aussi, les dessins d’objets sont très bien intégrés et il y a moins d’erreurs de traduction que d’accoutumée, du moins dans ce que j’ai joué jusqu’ici. Moyenne haute aussi pour la musique très bien conçue, avec des thèmes sympas et variés. Enfin, moyenne haute pour le nombre des bonus : un épisode entier (mini-suite de l’aventure principale), des trucs dispensables (croquis, etc.) et des interviews des concepteurs (spécieuses au possible). - En conclusion, je dirais que si vous vous satisfaites de la plupart des jeux de ce type, DGS vous séduira autant et même plus pour les raisons évoquées plus haut.

Les jeux d'objets cachés sont un genre où se côtoient le meilleur et le pire. On a là un très bon représentant qui permet vraiment de passer un excellent moment. Un journaliste enquête sur une série de disparitions de belles et jeunes personnes quand sa copine est enlevée par le mystérieux Oscar. Il se rend alors dans le manoir Goldvale pour tenter de la délivrer. L'ambiance est réussie, notamment par les nombreuses interventions d'Oscar, et les graphismes sont excellents, bien animés et fourmillant de détails. Il y a surtout de l'exploration et des énigmes plutôt que des scènes d'objets cachés. L'exploration se fait sur un espace assez grand et la carte peut être une aide précieuse pour s'y retrouver et connaître les endroits où il y a une action possible. Les énigmes sont plutôt faciles, surtout pour les habitués du genre, mais ça ne nuit pas au plaisir du jeu tant l'ambiance fait le job. Le son est en anglais sous-titré en français et tous les textes sont en français. Deux modes de difficulté, une solution complète pour ceux qui sont perdus, un inventaire, une carte (qui ne pemet pas de déplacements rapides) et un journal (avec un dictaphone pour réentendre Oscar mais sans sous-titres, ce qui est heureusement parfaitement inutile). Cette Edition Collector propose un chapitre bonus qui prolonge de manière intéressante l'histoire dans un parc d'attraction abandonné quelques mois après l'histoire principale. Un gros oui pour ce jeu qui sort vraiment du lot de ce genre de jeu avec une mention spéciale pour le serial-killer Oscar qui fait partie des plus pervers psychopathes du jeu vidéo. La série a connu un second épisode nommé "The Lonely Hearts Murders" et sorti 2 ans plus tard.

Tristitude ! Ce jeu était ultra prometteur : Journaliste vous faites la une avec un article sur un tueur en série…et HO SURPRISE !?! Il s’en prend à Anna, votre compagne, que vous devrez sauver en empruntant le chemin de la demeure du maniaque. Arrivé sur place l’ambiance vous prend aux tripes et vous plombe d’office. Les pièces s’enchainent comme le dédale d’un labyrinthe plus sombre et glauque à chaque portes franchies ; le tout accompagné d’une voix sinistre qui accompagne votre progression avec des élucubrations dérangeantes. Vous êtes clairement piégé dans un jeu sordide créé par un esprit malade qui s’est amusé à cacher des pièces de puzzles un peu partout et verrouiller des portes dans un manoir bien trop extravagant. Le HIC (et s’en est un sacré) c’est que malgré un scénario bien poignant et immersif le tout se perd dans *des animations lentes (et croyez bien que vous allez en manger à chaque fois que vous changerez de pièces), *une carte vaste qui force des allées et venues inutiles (aucun raccourci possible), *des objets à usages uniques planqués de ci et là sans autre but que de vous faire courir le lieu où vous en servir et non pas l’usage parce que ce dernier est toujours franchement évident ! (« oh zut je ne peux pas l’atteindre c’est vraiment trop haut… » 10km plus loin vous tombez sur une échelle ; revenez sur vos pas encore et encore…& again, *des scènes d’objets cachés trop rares et des jeux trop mous et laborieux. *des assemblages hasardeux avec des clics millimétrés Non j’insiste mais c’est malheureux ! On en arrive à un point où on espère ne plus trouver d’objets ni d’énigmes qui nous forceront à nous refaire toute la carte…et on désespère de trouver son chemin… Pour tout dire, je viens de débloquer l’aventure bonus et quand d’ordinaire je saute dessus…là franchement j’hésite. Comme il n’y a pas de succès steam aucun scrupule à spamer le bouton INDICE (même si ça ne vous sera pas d’un grand secours pour vous y retrouver, ça vous permettra au moins de passer les jeux les plus pénibles) Le bouton GUIDE (que j’ai boudé pensant qu’il s’agissait d’un récap façon tuto) est en fait tout simplement les solutions de A à Z ; tout y passe. Pour en revenir à l'Aventure Bonus qui demande 1h environ ; elle est à faire et prend une petite heure : l'ambiance Cirque se prête bien à la démence du vilain taré même si je vous conseillerais plutôt Dark Arcana The Carnival si vous aimez le thème. *** Sinon ni bug ni coquille à déplorer et une Aventure Principale qui prend 3 bonnes heures.