The Last Tinker™: City of Colors
2

Joueurs en Jeu

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Note

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Avis sur The Last Tinker™: City of Colors

The Last Tinker est un jeu d'action/aventure coloré (et pas un jeu de plates-formes, car il n'y a pas de bouton pour sauter). Koru, un garçon de Couleurville, doit affronter la Grisaille, une force mystérieuse désirant effacer toute joie. Utilisez couleurs et émotions ramener la vie à Couleurville.
ID de l'app260160
Type d'appGAME
Développeurs
Éditeurs Daedalic Entertainment
Catégories Solo, Succès Steam, Steam Cloud, Prise en charge complète des manettes, Cartes à échanger Steam, Sous-titres disponibles
Genres Indépendant, Action, Aventure
Date de sortie12 Mai, 2014
Plates-formes Windows, Mac, Linux
Langues prises en charge French, Italian, German, English, Spanish - Spain

The Last Tinker™: City of Colors
57 Revues totales
53 Commentaires positifs
4 Commentaires négatifs
Très positif Note

The Last Tinker™: City of Colors a reçu un total de 57 avis, dont 53 avis positifs et 4 avis négatifs, ce qui lui donne une note globale de « Très positif ».

Graphique des avis


Le graphique ci-dessus illustre l'évolution des avis sur The Last Tinker™: City of Colors au fil du temps, mettant en évidence les changements dynamiques dans l'opinion des joueurs à mesure que de nouvelles mises à jour et fonctionnalités sont introduites. Cette représentation visuelle permet de comprendre la réception du jeu et son évolution.


Avis récents sur Steam

Cette section affiche les 10 avis les plus récents de Steam sur le jeu, mettant en avant un mélange d'expériences et d'opinions des joueurs. Chaque résumé d'avis inclut le temps total de jeu ainsi que le nombre de réactions positives et négatives, offrant un aperçu clair du retour de la communauté.

Temps de jeu: 935 minutes
Jeu plutôt cool, même si vraiment facile (le public cible est clairement pas un joueur adulte et habitué aux jeux difficiles) L'environnement est carrément joli, le scénario est cool, les personnages plutôt sympas même si pas très profonds.. Le système de combats en utilisant les différents pouvoirs des couleurs est vraiment bien trouvé, même si y'a pas d'affrontements super difficiles qui rendent une super maitrise obligatoire. Petit point noir sur la musique et les dialogues, au final j'ai passé presque tout le jeu avec ma propre musique.. Super jeu pour des enfants, sur l'ouverture d'esprit, l'acceptation et plein d'autres valeurs gentilles comme ça. Il faudrait faire jouer tous les racistes/fachistes à ça, ça ferait du bien!
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 623 minutes
Tout d'abord c'est un jeu pour un public enfant. Ensuite les graphismes sont jolies , l'histoire des couleurs est sympas, la musique est bien MAIS la jouabilité est vraiment bof, on ne peut pas sauter , les coups que l'on apprend ne servent pas à grand chose ... Jeu à seulement recommander pour un public âgé de 7 à 15 ans
👍 : 0 | 😃 : 0
Négatif
Temps de jeu: 490 minutes
Pour les nostalgiques des jeux genre Jak and Daxter et Banjo Kazooie. Je l'ai eu en soldes à 2 euros, et pour ce prix la il n'y a pas à hésiter. Par contre au prix de base, c'est à dire 20 euros je trouve le jeux trop chère, j'ai fini le jeux en moins de 8h. Un des rares jeux de plateforme 3d potable. Par contre cela reste une petite production, les graphismes font penser à de la ps2 avec un antialiasing. Mon principal reproche, c'est le manque de variété, que ce soit des niveaux ou des ennemis. J'ai également regrété le système de saut automatique, car on peut peut quasiment pas tomber. ps : le jeux reconnait bien l manette xbox 360, mais pas avec le steamlink. Bref, je recommande fortement ce jeux, à condition de le prendre en solde.
👍 : 1 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 547 minutes
Mettons nous tout de suite d'accord : même si les apparences sont trompeuses, [i][b]The Last Tinker : City of Colors[/b][/i] n'est pas vraiment un jeu de plate-forme. Il vous rappellera peut-être les plus belles heures qu'ait connues ce genre, en particulier en 3D, mais ce n'est définitivement pas ce qui le caractèrise. Après tout, aucun bouton ne permet à proprement parler de sauter. Il suffit d'activer le sprint pour que notre personnage - un singe nommé Koru - enchaîne les plate-formes, la plupart du temps sans qu'il soit question de précision ou de timing. Hormis pour certains passages : sur les rails, par exemple, ou lorsque les plate-formes disparaissent momentanèment. Que ces sauts soient gérés de façon quasi automatique l'exclut donc d'emblée de cette catégorie. [i][b]The Last Tinker : City of Colors[/b][/i] est avant tout un jeu d'aventure et plus précisément d'action. Le coeur du gameplay réside dans un système de combat basé sur des coups et des couleurs. Et ça, ça ne se discute pas mon ami... *tousse*. Bref, notre protagoniste est un habitant de Couleurville. Oui, bon... ils ne sont pas allés la chercher bien loin celle-là. Toujours est-il qu'il réveille malgré lui une calamité : la Grisaille. Cette entité malfaisante met alors un point d'honneur à chasser de la cité les autres couleurs. Qui s'étaient d'ailleurs tant et si bien éloignées qu'elles ne parvenaient plus à travailler ensemble. Chacune est incarné par un esprit, qui gouverne en quelque sorte son peuple : les Bleus, les Verts et les Rouges. Et c'est là que vous intervenez. En effet, vos pouvoirs de Tinker vous destinent à contrecarrer ce plan diabolique. Mais pour ce faire, il faudra d'abord rallier ces trois esprits. Divers ennemis vous barreront la route, du péon de base à la bestiole qui attaque à distance, en passant par le gros costaud qui encaisse les coups. Pour les affronter, on récupère au fil de l'aventure un certain nombre d'aptitudes qui enrichissent le gameplay. [i][b]The Last Tinker : City of Colors[/b][/i] propose aussi une dose d'exploration très appréciable, d'autant plus que le level design est impeccable. Il s'agira pour l'essentiel d'amasser une monnaie - des pierres précieuses - ou de dénicher les pinceaux dissimulés dans les niveaux. La première permet d'étoffer votre panoplie de coups, leur puissance, voire d'allonger la durée des capacités spéciales, tandis que les seconds débloqueront des artwork ou des modes de jeu particuliers. Quant aux graphismes, ils sont soignés et bien sûr très colorés. On retrouve le côté mignon de ces vieux jeux de plate-formes où même les vilains avaient de bonnes trognes, pour ne pas trop effrayer les jeunes joueurs que nous étions. Un aspect un peu enfantin, qu'accentuent d'ailleurs les bruitages produits par les différents protagonistes lorsqu'ils s'expriment. Le jeu dispose en outre de quatre niveaux de difficulté, tous plus ou moins faciles compte tenu des nombreux checkpoints. En résumé, [i][b]The Last Tinker : City of Colors[/b][/i] est un jeu d'aventure/action accessible, à la réalisation impeccable et au doux parfum de nostalgie. [h1]Verdict : 4/5 - Très bon, une valeur sûre ![/h1]
👍 : 2 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 399 minutes
Un jeu magnifique. Un très belle esthétique pour un univers riche. Une musique soignée. Une excellente jouabilitée. J'ai eu la sensation de rejouer à Zelda sur N64 par moment et ce n'était pas désagréable. Je conseille vivement ce jeu.
👍 : 0 | 😃 : 1
Positif
Temps de jeu: 353 minutes
Bon "platformer" casual, très coloré et amusant. Un peu surprenant de constater qu'on ne peut pas sauter mais on s'y habitue rapidement. Les mondes sont jolis mais certaines séquences deviennent vite répétitives (exemple les rails). Par contre, The Last Tinker est très plaisant et visuellement superbe, pour un jeu familial de 2014. Je recommande !
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 977 minutes
Une belle surprise que ce jeu plateforme/action peu connu par rapport aux références du genre. Il rivalise bien avec Kao, Sonic voir même Jack & Dexter en mode enfants. Beaucoup de bulles de dialogues qui ne sont pas indispensables et univers coloré comme le titre l'indique. Système d'amélioration de compétences bien venu pour un jeu jeune public, et bonne durée de vie d'environ 16h. 16/20
👍 : 0 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 656 minutes
Je joue sur Linux. Version Linux : très bien. [h1]Le jeu[/h1] Un jeu d'aventure/action qui pourrait faire penser à un platformer, mais on ne peut pas sauter, tous les sauts sont automatiques quand on se dirige dans la bonne direction. La graphismes colorés et la direction artistique sont plutôt sympa, le jeu ne présente aucune difficulté, et la musique est variée et agréable. L'histoire dégouline un peu trop la guimauve sur la conclusion, mais j'ai passé un bon moment ! [h1]Rejouabilité, achievements[/h1] Aucune difficulté pour les achievements. [h1]En bref[/h1] Recommandé. [h1]GNU/Linux[/h1] La version Linux est excellente, à un point près. J'ai du désactiver les reflets sur l'eau dans l'un des niveaux (alors que... c'est pas comme si y'en avait beaucoup ni que ça changeait vraiment quelque chose), sinon j'avais des baisses de framerate assez agaçante. A part ça, pas de problèmes. Le support manette est nickel (avec le Logitech F710 du moins). OS: Linux Mint 18.2 x64, MATE edition. Hardware : i7 7700K OC@5Ghz, Nvidia 1080GTX, 32GB ram. Screens : Triplescreen, dont un vertical, un seul screen X.
👍 : 5 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 511 minutes
The last tinker Un monde ne vivant que pour la couleur perd de manière cataclysmique ses teintes, le pinceau est entre vos mains pour vaincre la grisaille Les points positifs : Gameplay simple : simple mais diablement efficace et qui ne s’arrête pas d’évoluer au fur et à mesure que vous progressez dans l’aventure Histoire simple et classique : simple et classique, sûrement, pour qu’elle puisse être rapidement assimilée pour les plus jeunes, mais qui possède une réelle trame scénaristique ainsi que de vrai morale sur la fin, enfin un jeu qui ne prend pas pour des débiles les plus jeunes Traduction : en français et complète s’il vous plaît Prix : 10 euros pour un jeu d’une telle qualité se font tellement rares. Bande son : l’OST du jeu est vraiment belle et toujours dans le vrai. Les choses à savoir : Graphiquement coloré et chatoyant : le jeu est beau sans pour autant être magnifique, surtout que cette patte graphique ne plaira pas à tout le monde. Un jeu enfantin : car oui, le jeu cible un public relativement jeune, ce qui explique son manque de difficulté, mais il n’oublie pas pour autant les plus vieux, qui sauront voir quelques clins d’œil ici ou là. Durée de vie : j’ai mis 7 h 30 à finir le jeu en essayant de chercher les secrets, ce qui est une bonne durée de vie pour son prix. Les points négatifs : Pas de sauvegarde manuelle : la sauvegarde ne se fait qu’a l’entré de la zone, donc quittée en plein milieu reviens à dire qu’il faut reprendre depuis le début du niveau. Trop peu de boss : 2 boss et uniquement vers la fin, réellement dommage, car ils manquent dans la 1re moitié du jeu. Conclusion : The Last Tinker fut une réelle surprise à découvrir et à jouer, possédant que très peu de point négatif et qui se paye le luxe d’avoir un bon gameplay et une bonne histoire.
👍 : 2 | 😃 : 0
Positif
Temps de jeu: 793 minutes
Artistiquement, The Last Tinker se pose là. La musique est envoûtante, et pour ce qui est du look... Regardez les screenshots et les vidéos. Le problème, c'est qu'à côté de ça, c'est la banqueroute. Commence par oublier les gros noms du platformer 3D plâtrés partout sur la page du magasin, lecteur : s'il y a bien eu inspiration, le jeu est bien loin de tout ça. D'abord au niveau du collectathon, puisque les 80 pinceaux cachés ne te demanderont guère d'efforts à trouver, mais surtout au niveau du gameplay. D'abord, il n'y a pas de saut. Les changements de hauteur sont contextuels. Du moins pour ce qui est de monter. Pour descendre, par contre, tu as toute liberté de te casser la gueule. Je m'interroge encore sur l'intérêt d'un système le cul entre deux chaises, mais passons. Ensuite, la course est optionnelle, et la marche le défaut. Ce serait cool. Si la marche avait un intérêt quelconque plus de 10 secondes de jeu, dans un unique passage étroit où les côtés sont bardés de buissons épineux. Oui, c'est littéralement le seul passage du jeu où marcher a le moindre intérêt (et encore est-il anecdotique, puisqu'au vu du nombre plus que généreux de PV donnés au joueur, même en fonçant dans le tas ça risque fort de ne pas mal tourner). Bref, on passe DIX HEURES le bouton RT enfoncé. DIX HEURES. CONTRE DIX SECONDES. Tu permets ? je reviens, juste le temps de charger le fusil à pompe. Ensuite, le combat. Le dernier Spyro auquel j'aie joué, c'était sur Wii, me demande même pas le titre, ça m'a jamais laissé un souvenir impérissable, Spyro. J'admets. Mais du moins avait-il l'avantage d'offrir une variété à la limite de l'obscène. Dans Tinker, tu peux acheter des upgrades, mais elles n'ont aucun intérêt. Aucun. AUCUN. AU-CUN. J'ai fini le jeu de bout en bout en utilisant EXCLUSIVEMENT les attaques de base (et le bouton RT, est-il besoin de le rappeler). Je ne saurais même pas te dire à quoi ressemble le reste : je m'en suis jamais servi. Je me souviens qu'à un moment de l'intro on m'a appris à esquiver avec RB, mais là où c'est rigolo avec Hand of Fate, ici c'est juste facepalmesque dans sa contradiction avec le RT qu'on oblige le joueur à enfoncer. Jamais de challenge, jamais de situations épineuses. Bref : c'est fade, c'est morne, c'est tout à l'inverse du principe du jeu et même de son nom. Ensuite, le gameplay d'une manière plus générique. Simple : coincé entre son saut contextuel, ses chutes sans préambule, sa rigidité quasi-cadavérique dans le level design, sa platitude presque constante et ses rails tant propres que figurés, c'est un véritable carnage. On s'emmerde de bout en bout, entre déplacements pour l'histoire et parcours d'une map plus linéaire qu'un Call of Duty dans une civière et ses secrets aussi bien planqués que le monde 2-1 de Super Mario. Comprenne qui pourra. Les unlocks ? Des artworks. Cool. Des modes à la con. Rien à foutre. Une arène. Une... Attends. Tu viens de me carrer le système de combat le plus pourrave que j'aie vu ces trois dernières années entre les mains, et t'as encore le culot de me coller UNE ARÈNE ? Heureusement pour toi que j'ai utilisé mes dernières réserves d'anthrax sur ma review d'Escape Goat 2, toi aussi je t'aurais donné des cours de base sur le metal. Le système Biggs/Boomer ? Sympa, mais au final chiant. Soit on siffle cette/ces bestiole(s) pour qu'elles suivent, auquel cas les positionner où on veut tient de la gageure (fort heureusement uniquement demandé quand on veut les changer de forme), soit on les transporte dans le cas de Boomer, mais alors non seulement on ne peut plus courir, mais en prime la vitesse de marche déjà digne d'un grabataire asthmatique se retrouve encore multipliée par zéro (manquerait plus qu'elle ait été divisée, tu me diras, lecteur). Le mini-jeu de l'orchestre ? J'ai juste un truc à dire. Si t'as déjà touché à une SNES, tu veux pas approcher ce truc avec une hazmat et la manette d'un autre au bout d'un bâton, lecteur. J'ai déjà eu du mal à retenir l'inversion BAYX -> ABXY, alors me demander de retenir les COULEURS des boutons de la manette ? Juste... Va voir chez les serbes les films à titre pourri, tu veux ? Sans compter les problèmes de contrôles. Je veux dire, au début du jeu, on te dit deux choses : RB sert 1. à esquiver ; 2. à descendre de ta plate-forme surélevée. Ouais. Sauf que RT fonctionne tout aussi bien et est d'office enfoncé, donc t'en as strictement rien à foutre. Jusqu'à environ 8h dans le jeu, où UNE plate-forme REFUSE l'utilisation de RT. Et bien évidemment après 8h, as-tu retenu ce détail, lecteur ? Honnêtement ? NON. C'est pas plus compliqué que ça. On t'inculque un truc pendant 8h, le virer après c'est du foutage de gueule. Le boss de fin ? Le seul véritable boss du jeu en fait ? Juste chiant, incapable de viser, prédictible sans expérience, mou, bref absolument obscène vu sa prestigieuse position. Les séquences sur rail propre ? Disons que tu as ici un bel exemple de dev qui n'a pas compris que quand on veut mettre un obstacle dans un virage, la moindre des choses quand on est propre, justement, est d'avertir le joueur en pivotant la caméra un peu plus d'un vingtième de seconde avant l'apparition de l'obstacle en question. En particulier quand t'abuses du motion blur. Le doublage ? L'idée est bien, hein. Je dis pas le contraire. Mais tu sais pourquoi les gens normaux grincent des dents devant les vieux Enix genre Illusion of Gaia ? Parce que les bipbipbipbipbipbip, c'est ignoble. Alors pourquoi diable avoir foutu ici une voix qui fait LITTÉRALEMENT "ouiiiiiiiiin, ouin ouin ouiiiiiin. Ouiiiiin, ouiiiin" ? Mmh ? Le système de checkpoints ? À moitié dans le caniveau : uniquement utilisables sur la partie en cours - besoin de prendre l'air ? Bah tu te retaperas ta map depuis le début, ça te fera les pieds. Et les dialogues avec, après tout un bouton skip, c'est pour les faibles. Tu reprendras bien un peu de "ouiiiiiiiiin, ouin ouin ouiiiiiin. Ouiiiiin, ouiiiin", non ? C'pas comme si ça allait te taper sur le système à la quatrième seconde. Ah, oui. Et dernier détail : c'est optimisé à la truelle. Quand l'AO te fait pas ramer mais que les RÉFLEXIONS mettent ton PC à genoux, tu sais qu'y a un truc pourri chez les Danois. Évite, lecteur. Évite, à moins de vouloir finir comme moi. Meurtri à tendance meurtrière. Bon, ceci dit, si tu t'obstines la VF est pratiquement irréprochable. Mais c'est cher payer pour quelques lignes de français correct.
👍 : 12 | 😃 : 12
Négatif
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