Avis sur Montague's Mount

Je suis déçue par ce jeu,malgré que ce soit une histoire vraie, mais j'ai essayé mainte fois de démarrer la partie, j'ai fait tant bien que mal le tour de l'Ile comme demandé dans le jeu, mais après pour avancer, je n'ai pas trouvé. De plus, il se dégage une athmosphère triste, noir et blanc au départ qui se colorise petit à petit. L'on ne peut pas cliquer sur les objets. Il n'y a pas de précision d'écrite, à savoir si c'est avec manette ou clavier, le jeu se démarre tout seul sans avoir d'options. En Français toutefois.

Dans Montague's Mount on prend son temps ! Beaucoup trop son temps et on s'enuie directement ! À côté de ça on peut rajouter la lenteur du personnage, les graphismes pas très beaux (malgré l'effet noir et blanc lissé), l'impossibilité de sauvegarder où on veut, un durée de vie super courte (heureusement dans un sens !). Petite mention spéciale pour le tout début du soft où le personnage se déplace sans canne avec des mouvements très saccadés, c'est la première fois que j'ai eu réellement envie de dégurgiter rien qu'en regardant un jeu ! J'ai mis un temps interminable à trouver cette maudite canne ! J'ai tout de suite, vous l'aurez compris, été repoussé par tout ce qui compose ce titre et jouer presque une heure a été véritablement une torture mentale comme physique, un comble ! >> 05/20

Trop de défauts de toutes sortes pour être recommandable, malheureusement. Pour citer un des plus importants, la première énigme n’a aucune logique et malgré des explications peu claires se trouvant dans le jeu et beaucoup d’allers et retours, je n’ai pas réussi à abaisser le pont qui se trouve à une cinquantaine de mètres du point de départ. Si vous voulez tout de même tenter le coup, sachez que ce jeu demande beaucoup de patience. Mise à jour: après avoir vu la solution de l’énigme dans le premier screenshot sur la page du jeu sur Steam, je l’ai réalisée dans le jeu, et… ça ne marche pas.

Prévu comme un jeu épisodique initialement, surfant sur le succès de Dear Esther, Montague's Mount est comme un tsunami : Ça semblait être prometteur à première vue (Quand il était encore prévu à être un jeu épisodique au nombre de trois) mais finalement, tout a été bâclé avec un Cliffhanger qui n'explique pas tout, l'énigme des cadrans qui demande une précision au pixel près pour être valider (Il y a de rares cas où elle bug et un redémarrage du jeu est requis), des fiches qui expliquent comment résoudre le problème, ruinant une partie du gameplay, la lenteur du personnage qui donne un côté somnifère, etc... qu'il ne laisse presque rien de bon, juste des choses mal mises en place. Mention spéciale au pendu dont le jeu ne cite même pas pourquoi il y a ce fameux corps sur l'île et qui est impossible à interagir avec lui dû à un level design douteux qui empêche d'aller vers la zone où il se trouve sans utiliser un bug du jeu permettant de faire du Noclip bien que ce bug empêche une véritable exploration dû à la physique de certains éléments du décor n'étant pas touché par le dit bug du Noclip qui ne peut être résolu que par un redémarrage du jeu. J'en ai gardé un mauvais souvenir à cause d'un problème de sauvegarde, me forçant à refaire la première énigme sans oublier celles des cadrans dont je ne comprenais rien à son fonctionnement malgré les indices (Et qui, d'ailleurs, ne marche pas avec la manette à cause d'une mauvaise configuration des touches qui font que le jeu exécute un strafe tout en déplaçant légèrement l'aiguille des cadrans, un oubli qui aurait pu être corriger rapidement mais non...) sans oublier les problèmes de rotation de la caméra qui me donnaient des migraines... Bref, il est ce que sont des jeux comme Gone Home (Que je n'ai pas testé mais, de ce que j'ai entendu, c'est pas l'pied !) : Un Point'n'Click voulant surfer sur le succès d'un autre jeu ayant marché mais qui échoue lamentablement en proposant un contenu trop maigre plombé par de nombreux défauts en voulant se donner de faux airs de gros jeu réinventant la roue et mieux vaut se tourner vers d'autres jeux du même style ayant un meilleur contenu.

Ce jeu est dans la ligné de Dear Esther, le côté stable en moins. Déjà, ce qui est fort dommage, c'est la vitesse de marche du gars qui risque d'en gonfler plus d 'un. Ensuite quelques bugs sont à répertorier, comme le "ROCKET MAN" http://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=352973379 Ou certaines énigmes ne fonctionnant qu'après un reload. Dans l'ensemble, ça va, il y a pire, mais il y a tout de même mieux.. A prendre si en promo. 5.5/10

Je ne peux pas décemment recommander ce jeu puzzle / aventure en vue à la première personne, même si tout n'est pas de la faute du développeur... Alors tout d'abord non le personnage n'est pas (affreusement) lent, il est blessé et doit juste ramasser une canne qui se trouve à l'une des deux extrémités de la plage où l'aventure débute pour retrouver un rythme de marche normal (j'avoue ne pas être très convaincu par cet élément de gameplay)... Si jamais vous voulez vraiment jouer à ce jeu il est impératif de la prendre sinon vous allez pleurer du sang (déjà qu'équipé de cette canne j'ai pleuré du sang) ! Sinon, le moteur du jeu (Unity 4 je pense) a très très mal vieilli et les performances ne sont clairement pas folles... voilà pour la partie "le développeur n'est pas responsable"... Le reste est quand même assez mal exécuté dans l'ensemble puisque tout est (bien trop) sombre (je comprends l'intention, l'histoire elle-même est sombre, mais quand même il n'y avait pas besoin de pousser la thématique à ce point), ce qui ne rend pas la recherche des objets très aisée (difficulté artificielle, je conseille de les mettre en surbrillance dans les paramètres), les puzzles et énigmes étant sinon par ailleurs pas trop complexes dans l'ensemble (mais je me suis aidé ponctuellement d'un "Let's play" tellement je n'en pouvais plus du jeu que je voulais terminer par acquis de conscience). Le jeu s'essaye parfois au petit train fantôme et à provoquer de la tristesse... mais j'avoue que ce sont les textures et animations de ces scènes qui m'ont le plus rendu triste... et les cinématiques lors de la découverte de nouvelles zones qu'on ne peut passer (pas trouver comment en tout cas) ou lors de la découverte de l'un des objets cachés (il y a des cartes postales de l'Irlande à trouver, elles donnent plus envie d'y aller en voyage que le jeu) sont trèèèèèèèès looooooongues sans que le joueur en voit bien l'intérêt (de toutes manières explorer la zone est un peu une obligation, alors le plan de caméra n'est vraiment pas nécessaire)... Bref, un jeu frustrant, pas cher certes, mais qui ne peut être recommandé qu'aux plus hardcores des fans du genre (avec un niveau correct en anglais - si vous voulez suivre l'histoire, ce n'est pas une obligation - car les sous-titres en français n'ont pas l'air de fonctionner) ! Ah, pour finir, et même si le jeu a une fin propre (quoiqu'un peu ouverte), il n'était prévu que comme un premier épisode... mais le second n'a pas réussi à trouver assez de fonds sur Kickstarter (ce n'est pas très surprenant même si j'en suis désolé pour le développeur). Tourne (je n'ose pas dire "bien" au regard du fait que le jeu date de 2013 et mon PC de 2016) sous Linux (Ubuntu 14.04 la première fois que je l'ai lancé, Kubuntu 18.04 lors du test, Nvidia pilotes propriétaires). SI vous avez des soucis car vous avez deux écrans (étrangement je n'ai pas eu de souci lors de mes deux premières parties, mais le lendemain le jeu s'est mis à considérer que mes deux écrans n'en faisaient qu'un, un bug classique) il y a un paramètre de résolution qui peut être ajouté au démarrage du jeu (cf. l'un des sujets épinglés de la section "discussions" du jeu sur Steam) !

Je rejoins beaucoup d'autres critiques sur la fait que le personnage se déplace plus que lentement pouvant devenir énervant à la longue. Personnellement, avec l'ambiance qui se dégage du jeu, le côté monochrome, il devient assez pratique finalement de ne pas aller si vite pour avoir les yeux sur le moindre détail pour trouver certains objets qui se fondent parfois dans la masse. Cet univers mystérieux vous invite quelque part à vous détendre d'une certaine manière par le calme qu'il y règne. Quelques bugs, murs invisibles et autres petites choses pénibles mais qui au final ne gâcheront pas complétement cette histoire basée sur des faits réels.

Dommage qu’il n’y ait pas d’évaluation neutre – car voilà typiquement le genre de jeu qu’on aurait bien volontiers «envie d’aimer», mais qui (pour ma part) ne me semble décemment pas conseillable étant donné ses nombreux défauts… [b]Les +[/b][list] [*]Ambiance réussie (notamment sonore) [*]Collecter 3 sortes d’objets cachés [*]VF assez bonne [*]Agréablement reposant [*]Quelques énigmes plutôt sympas et bien pensées[/list] [b]Les –[/b][list] [*]Quelques énigmes plutôt bidon et mal amenées [*]Queeeeeelle lennnnnnteuuuuuuuuuuuur ! Pas de touche "run" en 2013, c'est misérable : Sous prétexte d'une maladie dont on vous encombre dès l'intro, le perso marche avec une canne et traine la patte pendant tout le jeu - c'en est parfois décourageant. (Même les travelings lors des cinématiques sont d’une lourdeur insupportable !) [*]Techniquement faiblard : Trop de textures crades, pop incessant des ombres et de certains environnements, petits bugs qui nuisent à l’immersion et donc à l’ambiance... Même dissimulé sous des filtres "cache-misère", ça reste bien trop visible. [*]L'esthétique globale s'avère carrément décevante, surtout pour une carte pas très grande et un level-design en couloir ponctué de quelques courtes ramifications... De plus, la direction artistique est très inégale : De bonnes idées de mise en scène ou d'éclairages côtoient par exemple des choix de couleurs qui me semblent (personnellement) aberrants. [*]En terme de programmation, tout aurait surement pu être bien mieux optimisé, car malgré son rendu vraiment très moyen le jeu s'avère bizarrement HYPER gourmand en ressources GPU et CPU! [i](Pour donner une idée, chez moi - d'après mes jauges "MSI Afterburner" - il tire quasiment autant sur la carte graphique et le processeur que quand je joue à Skyrim en HD moddé à mort en ultra ! O_o ).[/i] [*]Scénar correct, mais dont la vraie fin semble finalement être remise à un autre épisode : Et ça, c’est le genre de politique commerciale "par surprise" que je trouve carrément limite… (Surtout étant donné le rapport qualité prix de ce jeu qui semble donc n’être qu’un 1er épisode…) [*]Interface médiocre. (Par exemple, les sous-titres du narrateur ou certains feuillets "inzoomables" dans le jeu apparaissent dans une typo ridiculement minuscule et illisible)...[/list] Même si je comprends à peu près pourquoi on compare souvent ce jeu à «[i]Dear Esther[/i]», (que j’ai adoré), les deux jeux n’offrent pas du tout la même qualité de réalisation ni d’écriture… Si Montague’s Mount propose un challenge naturellement supérieur, il est finalement à la ramasse sur trop de choses pour pouvoir décemment rivaliser avec Dear Esther. [i](Qui est pourtant sorti un an avant!)[/i] C'est vraiment dommage, car le jeu n’est pas non plus "mauvais" en soi - donc si vous vous sentez le courage de supporter son incommensurable lenteur et ses quelques autres défauts listés ci-dessus, à la rigueur chopez le en méga solde.

Si Montague's Mount devait se résumer en un mot, ce serait le suivant : "kek". Même pas "lol", non, c'est encore trop doux. "kek", c'est bien. C'est à peu près du même niveau. Il y a trois choses qui me font donner une recommandation négative, de manière générale : 1. On se fout de ma gueule. 2. Le ratio prix/longueur du fun est en-dessous du ratio surmiteux du cinéma contemporain. 3. Le fun est en-dessous de la lecture d'un bouquin de Stephen King quand on aime les beaux, bons et grands mots. Montague's Mount cumule les trois, et plus encore. Tout d'abord, ô lecteur, sache-le : on se fout de ta gueule. "Montague's Mount est un thriller psychologique inquiétant". On va dépecer cette sublime phrase de présentation du jeu, ça suffira. Tu verras. "Montague's Mount est un". Jusqu'ici, c'est cool. En fait, je me dis qu'ils auraient dû s'arrêter là. Mais tu sais comment sont les gens, hein. Il leur en faut toujours plus. "thriller psychologique". Alors... Je vais choper Wikipedia, tiens, j'ai la flemme. Je cite : "Les thrillers psychologiques (psychological thrillers) sont caractérisés par des manipulations psychologiques, des traques ou harcèlements liées à des obsessions, des emprisonnements ou confinements dans des endroits dangereux ou piégés, frisant parfois avec le genre de l'horreur". Diantre. Que dire ? Que Montague's Mount est au thriller psychologique ce que La Vie de Brian est au catéchisme ? Ouais, on doit être à peu près dans ces eaux-là. Il n'y a aucune manipulation psychologique dans le jeu. Pas de traque, pas de harcèlement, une obsession, un confinement dans un endroit à peu près aussi dangereux qu'une matriochka Made in Taiwan (et de taille équivalente), et ça frise autant l'horreur qu'Ethnic Cleansing frôle la dating sim. "inquiétant". Alors euh... Je sais pas. Éventuellement, si tu trouves les Teletubbies, Dora l'Exploratrice et Ben10 inquiétants, à la limite, peut-être que Montague's Mount a l'équivalent de la chance qu'aurait une boule de neige en enfer de te perturber suffisamment pour que tu te demandes si t'as bien pensé à sortir le chien ce soir. Et encore. Ça, c'est dans de bonnes conditions, à savoir si tu es atteint d'une quelconque pathologie neuro-dégénérative doublée d'une fâcheuse tendance à l'insomnie. De rebondissements il n'y a point tant tu as compris le fin mot de cette abomination avant même la moitié du jeu, d'angoisse moins encore, d'ambiance à peine, de puzzles nullement (ne va pas croire les screenshots, les trois malheureux puzzles planqués à travers le jeu te feront à peine et à la truelle dix minutes de temps de jeu), les mini-jeux sont à chier (il y en a UN, et il s'agit de cliquer quatre fois d'affilée. Chose que tu devras répéter quatre ou cinq fois au fil du jeu. Woah. Émerveillement, joie de la découverte, plaisir de la variété, tout ça), techniquement c'est à la ramasse (je veux dire, je veux bien que le moteur est bof, mais à choisir même Wasteland 2 fait méchamment mieux), la durée de vie est pire encore que les navets plus ambitieux du cinéma (compte deux heures et des brouettes pour essorer complètement le truc - entends AVEC tous les secrets et objets à récolter dans la popoche, ce qui te vaudra en prime une dépression phénoménale, une automutilation à la cuillère en plastique rouillée et Hastur sait quels autres affres dûs à ton état d'esprit à ce stade du jeu)... Il faut aussi signaler que c'est visuellement hideux. Je ne parle pas ici seulement du look général et des modèles dignes du baise tof des années '90, mais du fait que régulièrement, l'image subit une désaturation qui ne parvient qu'à gêner la lisibilité des choses et à gâcher le plaisir qu'aurait autrement pu procurer le jeu... S'il n'avait pas en plus 50% de textures de taille 8x8 en 4 couleurs : gris, très gris, encore plus gris et méchamment gris. Et pas le gris sexy d'un Gameboy, hein. Le gris chiant et terne d'un bout de rocher. Quant à la partie audio ? Le doublage français est certes correct... C'est juste qu'il ne couvre pas la moitié des voix anglaises, ce qui fait que les journaux dispersés à travers l'île ne sont pas doublés... Sauf si tu as le malheur d'appuyer sur Escape à ce moment-là et de revenir en jeu. Dans un cas pareil, PAF. Une voix anglaise. Heck. Si l'amateurisme est un art, on tient Raphaël, ici. Quand à la BGM, elle tente lamentablement de se faire euh... oppressante, je suppose. Sauf qu'elle n'arrive à rien, et est aussitôt oubliée. Mais passons. Quand les deux succès les plus difficiles à choper du jeu sont ceux qui te demandent de jouer trois heures et de marcher dix kilomètres, c'est à peu près tout dire. J'ai joué deux heures trente et marché six kilomètres. En me forçant à faire des aller-retour, dont un d'un bout à l'autre de l'île. Genre les deux extrémités hein, j'ai pas lésiné. Et pour couronner le tout, après quelques mégatonnes de recherches infructueuses, il semble que le tag "basé sur une histoire vraie" soit du horsedung pur jus droit sorti des régions nébuleuses du cerveau d'un dev qui avait envie de se faire mousser, puisque la seule trace de cette horrible histoire disponible où que ce soit se trouve par là : http://www.godisageek.com/2013/10/interview-montagues-mount-matt-clifton/ - et se résume, en gros, à "ouais, j'suis allé en Irlande, et j'ai appris un peu de gaélique. Han, regardez-moi comme je suis beau". Promis, demain, j'écris un film sur la fin du monde vue d'un coin de Bretagne : j'suis allé à Lille, un jour, et je sais écrire "chouchenn". Je pourrai mettre "basé sur une histoire vraie". La classe. J'en rirais presque, si ce n'était si pitoyable et ne me rendait, a contrario, d'autant plus impitoyable. Passe ton chemin, lecteur. Chope un jeu. Un vrai. Un qui coûte moins cher (ou même autant) et où il y a des trucs à faire. Vraiment.

Bon, lui par contre, je ne le recommande pas. Montague's Mount est un jeu indé assez psychologique dans lequel on incarne un type qui se réveille sur une île sans se souvenir de quoi que ce soit et qui doit découvrir ce qu'il fout là. Tout le jeu est basé sur le ressenti du personnage, perdu et désespéré, qui découvre progressivement toutes les horreurs qui ont eu lieu sur cette île. Mais DIEUX que le jeu est leeeent ! Je veux bien que la lenteur et la quasi-monochromie du jeu aient pour but de faire ressentir au joueur ce désespoir que vit le perso, mais bon sang, ce défaut devient tellement omniprésent dès les premières minutes du jeu que l'on n'arrive même plus à ressentir la moindre empathie pour le héros ; j'ai passé le plus clair de mon temps à pester sur mon personnage et à me demander si je n'incarnais pas une mamie paraplégique obèse qui lutte pour ramper sur le sol. Nice try game, mais faire tourner un jeu au ralenti et placer de façon random des jolies musiques tristes n'auront pas suffit à me faire verser une larme. Le scénario est pourtant assez intéressant, mais foutrement pas assez exploité à mon goût... Les énigmes tiennent la route, les décors sont chouettes. Une durée de vie de 4h. 4h durant lesquelles on marche, on marche, on marche. Lentement. D'une maison à l'autre. Allez papi, 30 minutes pour faire 10 mètres, c'est biiieeen. Eh oui, 4h, c'est trèèès peu, surtout pour un jeu aussi lent, qui aurait certainement eu une durée de vie de 2h seulement si le personnage avait marché ne serait-ce que 2km/h plus vite. (oui, j'ai vraiment ragé sur ce jeu, je suis peut-être un peu trop nerveuse, alors j'écris un pavé sur le vif, so what)