Avis sur The Kindeman Remedy

Le Ravenous Devils du pauvre. Qui se veux plus choquant mais qui est juste plus lent et plus moche. Un jeu parfait si vous comptez lire vos mails en jouant

I really hoped to like the game but the review are right. The gameplay is just oo poor/too slow. There is no decision making you just keep doing what you must withotu thinking and the fact that I forgot so many time to call the guy before the execution making me fail the progression show how the game fails to keep track of your progression

Le jeu est sympathique si on aime le genre. Mais il a quelques défauts notables concernant l'optimisation graphique, et quelques crashs. Comme d'autres jeux du genre, il est assez court, mais possède un mode infini.

Petit jeu de micro gestion sympa très similaire à Ravenous Devil avec une ambiance et des actions aussi malsaines. Ici on gère un savant fou qui torture à mort des prisonniers avec l'aide d'une nonne sans scrupules. Le mode scénario fait envrion 7 heures (comme Ravenous Devil curieusement) mais impossible d'avoir tous les succès en une partie car 4 succès obligent à faire 4 parties différentes avec un objectif assez pénible et illogique : [spoiler] atteindre un pourcentage précis de recherche du remède à la fin d'une partie [/spoiler] Il y a un mode infini étonnamment beaucoup plus difficile que le mode histoire : des objectifs a atteindre en temps limités et un surveillant qui provoque un game-over immédiat à la moindre erreur ! Comme son prédécesseur, j'aime beaucoup ce gameplay de micro-gestion des temps d'actions et des suites logiques d'activité à trouver. Mais il a le même défaut d'être un petit jeu avec finalement peu d'actions différentes. Heureusement il est aussi à petit prix : moins de 10 euros dès sa sortie.

C'est avec regret que je ne recommande pas ce jeu, le concept était pourtant bien original. The Kindeman Remedy s'est malheureusement avéré trop répétitif et pauvre en contenu pour moi. A l'instar de Ravenous Devil auquel il est comparé à raison de par son principe semblable, la boucle de gameplay devient vite ennuyeuse. Si au début on est pris par ce que l'on doit faire et on se plait à essayer d'optimiser nos déplacements, la difficulté et l'intérêt s'évaporent rapidement une fois deux ou trois améliorations débloquées... Avec seulement quelques stockages supplémentaires et une vitesse de production accrue, me voilà déjà imbattable au bout de quelques jours in game. Je produits des médicaments/perfusions et du réactif à foison, si bien qu'il faut vraiment que je le fasse exprès pour tomber à court de quoi que ce soit. Bien vite l'ennui se fait ressentir : Le jeu ne met aucune pression et je n'ai même plus besoin de réfléchir pour avancer. Tout ce que l'on fait nous semble alors affreusement long (et ça l'est), les interactions sont d'une pauvreté affligeante et les quelques cinématiques disséminées par ci par là peinent à nous tenir en haleine. J'ai trouvé le dénouent de l'histoire balancé à la va-vite et le tout manquait quand même beaucoup de rebondissements. C'est vraiment dommage car il y avait quand même des idées pas mal qui, j'en suis sûr, auraient exprimées leur plein potentiel si quelques événements aléatoires avaient pu venir interférer avec la progression. Là en l'état : Attendez-vous à refaire inlassablement la même chose pendant tout le jeu (on parle de moins de 10 actions différentes) sans jamais ressentir d'incertitude quand à votre réussite.

Le Remède de Kindeman se distingue comme étant le jeu de gestion le plus audacieux, controversé et sinistrement captivant de l'année. Au cœur d'une sombre prison, sous l'œil complice d'une nonne au comportement douteux, le joueur est invité à orchestrer des machinations diaboliques. De la manipulation des exécutions à la conduite d'expériences répugnantes, chaque acte contribue à la quête ultime du docteur Carl Kindeman pour créer son remède universel. Rejeté par la communauté médicale pour ses méthodes peu orthodoxes, le docteur Kindeman accepte un poste dans un environnement où l'horreur et la désolation règnent en maîtres. C'est dans cette atmosphère macabre qu'il voit l'opportunité de redorer son blason, loin des regards accusateurs. Le joueur est plongé dans la peau d'un véritable monstre, poussé par l'ambition démesurée du docteur à rétablir sa réputation à tout prix. La gestion du laboratoire devient un jeu d'équilibriste entre l'amélioration des installations, la gestion des ressources et la réalisation d'expériences inhumaines sur des détenus réduits au statut de cobayes. Sœur Anna, personnage tout aussi énigmatique que dévoué, se révèle être un soutien infaillible dans cette quête morbide. Ensemble, ils naviguent à travers une histoire sombre, explorant les abysses de la moralité et de l'humanité, où chaque choix peut mener à des fins variées et des conséquences inattendues. Le mode Sans fin offre un défi supplémentaire pour les joueurs en quête de sensations fortes, mettant leur ingéniosité et leur cruauté à l'épreuve contre les interventions de M. Black, gardien de la moralité. Comparé à Ravenous Devils pour son ambiance et son approche unique de la gestion, Le Remède de Kindeman est une expérience impitoyable qui questionne les limites de l'éthique sous le couvert d'un gameplay addictif. Préparez-vous à être le maître d'œuvres d'un récit à la fois fascinant et terrifiant, où la distinction entre le bien et le mal se fait de plus en plus floue.