South of Midnight - Graphiques & Statistiques Steam

Beautiful game and nice story, I loved it.

Jeu peu inspiré. Gameplay ennuyant, combat sans intérêt, histoire d'un niveau d'un enfant de 6 ans...

Such a gem ! The artstyle and the music is so on point ! Don't get me started on the characters and the story. Hazel is such a nice character to play, sarcastic, athletic, clever and street smart not too mention the outfits and her sense of style.. OMG girl, Imma be slaying in the deep south ! Combat is fairly easy and repetitive but it doesn't matter as it's not the main focus of the game and the boss fights are still entertaining. I recommend 100%. Prepare for a rollercoaster of emotions

I love its atmosphere. The game has an identity, a story to tell. It's possible to find some flaws, but I had a better time with it than with Expedition 33, which I just finished. This probably won't be the game of the year for its gameplay. There's nothing new compared to what we know. It's a good action-adventure game, with a story set in a folklore setting that can use some use. Incredible graphics, well-chosen art, and character design. The soundtrack is great, touching, and in keeping with the story. I didn't encounter any bugs, which is a change from most of the recent games released. The game length seems a bit short for the price, but it's still within the norm. The game's pace is quite fast if you want to rush through the story, but with minigames integrated into the story. It has no flaws that aren't common to the action/adventure genre (excluding RPGs). I've read a lot of criticism about the game's simplicity, its repetitiveness, and its linearity. Sure, it's not a role-playing game or an open world, but it wasn't marketed as such. The fights are simple, yes. There aren't a ton of powers or weapons, but that doesn't bother me personally, and I'd even say it compensates, to a certain extent, for the repetitiveness of the combat. (After Expedition 33, where you're faced with combat in every way, all of which ultimately resemble each other except for the bosses, it's very good.) The boss fights still have unique mechanics, and new enemies appear at the end of the chapters.

Mon dieu, je suis vraiment très agréablement surpris par ce jeu. Je m'attendais à quelque chose d'un peu basique au vue de certaines évaluations négatives. Mais ne les écoutez pas, c'est clairement du sum inutile. Jouez y, ne serait-ce que 2 heures et vous serez conquis.

South of Midnight, On y incarne Hazel une jeune femme qui aura pour but de retrouver sa maman, emporter par les eaux lors d'une tempête, Lors de son périple, elle découvrir un pouvoir caché en elle et grâce à celui-ci, elle pourra apaiser les âmes perdues, À travers son voyage, il explorera le passé tragique de nombreux individus et devra les apaiser en utilisant ses pouvoirs, Un jeu invitant à la réflexion traite de l'importance de faire son deuil suite à un drame.

J'ai adoré ce jeu et découvrir les créatures, les décors sont très beau et nous transporte parfaitement dans l'univers. L'histoire est très belle et j'avoue j'ai failli pleurer par moment T_T

South of Midnight est clairement l'un des plus gros chefs-d'œuvre que j'ai jamais vus de ma vie ! L'histoire est totalement magnifique, on dirait presque un film, tellement c'est hallucinant. On est complètement épongé par l'atmosphère du jeu, ce qui nous plonge dans cet univers et développe parfois ce manège et ce désir de finir l'aventure jusqu'au bout. La musique dans le jeu est absolument excellente ! Ce qui rend le jeu plus authentique, c'est son propre langage qui nous fait tant voyager. Les émotions et les sentiments entre nous-mêmes et les personnages sont totalement inaliénables. C'est ce qui rend d'ailleurs le jeu plus riche en émotions, car il est profond et sensible à la fois. La morale du jeu elle-même est très intense et poétique et la qualité graphique, c'est vraiment une pépite ! De plus, ce que j'aime dans ce jeu, c'est sa capacité à nous faire réfléchir sur notre propre pensée et existence. La morale ici est tellement belle que ça nous permet de comprendre certaines choses comme l'apparence et les préjugés qu'on peut apporter. Dans un moment la plus importante de l'histoire, vous allez comprendre que l'apparence en dit très peu sur la personne, mais que leur acte en dit finalement d'un côté beaucoup plus et est entièrement balayé à la fois par la haine des autres ; et que de plus, comme dans la vraie vie nos craintes deviennent parfois nocives pour notre faculté de juger quelqu'un ou quelque chose. C'est typiquement le genre de morale non cliché que peu de jeux utilisent, mais qui fait honnêtement toute la différence entre notre perception et notre avis sur le jeu lui-même… Après ce style de jeu, on peut le voir un peu partout, comme dans Kena : Bridge of Spirits ou encore the Legend of Zelda Breath of the Wild… C'est sincèrement un des meilleurs jeux auxquels j'ai joué de toute ma vie. Réellement, ce jeu, c'est une pépite, je le recommande FORTEMENT ! Ça a été une très belle expérience que je n'oublierais jamais !

Le jeu n'invente rien, des mécaniques de gameplay déjà utilisés dans beaucoup de jeux...mais ce qu'il fait, il le fait bien ! Les petites histoires derrière chaque créatures sont captivantes. Et le direction artistique, la réalisation technique, c'est tout simplement sublime ! un voyage magnifique!

Porté par une esthétique somptueuse et une bande-son aussi ensorcelante qu'engagée, [i]South of Midnight[/i] installe confortablement le joueur pour un voyage mémorable dans la moiteur de la Louisiane et de l'Alabama, où les bicoques délabrées côtoient les vapeurs inquiétantes des bayous. Le jeu nous en met plein la vue, via une direction artistique haute en couleur, qui associe le trait du dessin animé à un [i]stop motion[/i] étrange mais qui donne du caractère à chaque mouvement. Cerise sur le gâteau : le jeu ronronne, les crashs étant inexistants et la fluidité aussi régulière que l'aube d'un bateau à roues. Ce tableau idyllique est magistralement transcendé par une bande-son diégétique d'une richesse exceptionnelle, signée Olivier Derivière. Blues habité, jazz feutré, country vibrante : la musique dans [i]South of Midnight[/i] est omniprésente et joue un rôle prépondérant, s'imposant parfois même avec une ampleur telle que le joueur est tenté de lâcher le clavier ou la manette simplement pour écouter. Le scénario, quant à lui, s'inscrit dans cette tradition des histoires partagées au coin du feu, avec un narrateur qui complète les différentes cinématiques rythmant la progression. Le doublage en VO est impeccable, puisque l'on profite alors pleinement du vocabulaire unique et des intonations incomparables du Deep South. Dans l'ensemble, la trame du récit est construite tel un prétexte pour explorer un maximum de fables méconnues, évoquant ainsi la légende d'Huggin Molly, le monstrueux Two-Toed Tom ou encore le mythique Rougarou. On pourra au passage s'étonner de la relative désinvolture d'Hazel face à certaines thématiques graves, probablement aveuglée par son désir de revoir sa mère. À côté de cela, hélas, le gameplay est en retrait. Si les pouvoirs de tissage et la palette de coups restent suffisamment riches pour varier les plaisirs, on aura du mal à les exploiter pleinement, la faute à un bestiaire famélique, composé d'une demi-douzaine d'adversaires différents seulement, par ailleurs systématiquement confinés dans des arènes exclusivement réservées aux combats. [i]South of Midnight[/i] reste un jeu couloir dont les phases de jeu sont distinctement cloisonnées, en plus d'être répétitives. Globalement, chaque chapitre obéit ainsi à une structure identique : un peu de plateforme, un brin d'exploration au sein d'une zone ouverte pour en purger ces poches de monstres bien délimitées, puis une course-poursuite nerveuse jusqu'au prochain segment, à moins qu'un boss ne vienne jouer les trouble-fête. Ces derniers apportent d'ailleurs, heureusement, une fraîcheur bienvenue dans les affrontements (surtout si vous visez le 100%, car vous devrez alors les battre sans vous faire toucher). [i]South of Midnight[/i] est une [b]ode réussie aux mythes du [i]Deep South[/i][/b], un univers inexploré des arts vidéoludiques. À travers un jeu abouti, Compulsion donne corps et âme à ce folklore afro-américain, avec brio, via une [b]direction artistique sans pareille et une ambiance sonore magistrale[/b]. Tout cela déteint forcément sur des mécaniques de jeu qui peinent à atteindre le même degré d'originalité et d'excellence, pour se contenter d'accompagner là où il aurait fallu exalter. L'[b]ensemble demeure néanmoins récréatif et envoûtant[/b], pour peu que l'on accepte de se laisser porter par ce conte d'une dizaine d'heures environ (une quinzaine pour le 100%), comme on se laisserait bercer par le chant des grenouilles, installé dans une rocking chair rongée par le soleil. Quelques remarques : - Les panoramas à en décrocher la mâchoire sont légion. On en regrette d'autant plus l'absence d'un mode photo qui permettrait de masquer le HUD. - Les combats normaux comme ceux contre les boss peuvent être désactivés, pour permettre aux joueurs occasionnels de se focaliser sur le récit, les décors et l'ambiance. Le jeu offre une pléthore d'options d'accessibilité pour que chacun puisse parfaire son expérience. - Même le stop motion peut être désactivé (sic), exception faite des cinématiques qui sont par ailleurs limitées au 16/9 et à 30 IPS. - Jeu couloir oblige, les pouvoirs acquis sont immédiatement mis à contribution. Mais ainsi, aucun [i]backtracking[/i] n'est nécessaire pour récolter les nombreux collectionnables disséminés à travers les chapitres : tout peut se faire d'une seule traite. - Je m'attendais naïvement à lire ou à entendre davantage de français en VO, mais hormis quelques rares écriteaux, le jeu ne comporte finalement que peu de références à notre langue. - Il m'a fallu recharger ma partie pour sortir d'un [i]softlock[/i] en sortie de cinématique, mais les sauvegardes sont heureusement très fréquentes. - Obtenir le 100% pour ce jeu est une promenade marécageuse de santé, exception faite des trois boss à vaincre sans jamais se faire toucher. Il vous faudra alors apprivoiser les patterns de chaque phase en minimisant l'aléatoire (par exemple en courant en cercles pour éviter les jets de rochers face à ce satané Two-Toed Tom).