Avis sur Stay Out of the House

Gros oui

ça fait peur

my favourite horror game!!!

Its a unique game

ce jeux est Incroyable il nous mets vraiment dans l'ambience Slasher !

pire que outlats je pensait pas trouver un jeu qui fait plus peur que les outlast maIs la séris des puppet combo c un autre level

Puppet Combo est un cas particulier. Ils ont sortit des très bons jeux comme des gigantesques merdes. Seulement voilà, une esthétique géniale, des bandes annonces très efficaces et ingénieuses et surtout plusieurs sorties plus que excellentes, c'est les ingrédients pour créer un effet de gouroutisation. Donc en gros les mecs pourraient te sortir une demo a moitié bugée, t'auras toujours la moitié de la terre pour applaudir avec les deux pieds. Stay Out of the House est haut la main le plus mauvais jeu de Puppet Combo. Le plus frustrant, le plus raté et le plus chiant. La difficulté est complètement aux fraises : rien n'est intuitif, faut chercher les soluces a plusieurs reprises. Oui je sais jean-pètecouilles, un survival horror n'est pas là pour te prendre par la main, mais une énigme, c'est censé faire sens. Il y as une clé super importante a récupérer qui est nécéssaire pour finir le jeu. Elle est ni dans un tiroir ni dans le cul de la vieille, c'est le tueur qui l'as. Et ça, rien ne te le fait comprendre. Aucun bruit de clé quand il se déplace, ni quand il t'attaque, faut deviner a partir de rien du tout que le mec que tu cherche absolument a éviter depuis le début du jeu as sur lui un objet méga important. Pour résumer, ce jeu c'est 50 pourcent de "puta!n je dois faire quoi" et 50 pourcent de poireauter (mais littéralement hein). Rajoutez a ça qu'il est presque impossible de semer le tueur, les espaces sont beaucoup trop clos donc si t'es repéré ben, en gros t'es mort. Le jeu est également lamentable sur le plan rythmique. Oui je sais jean-chieur, c'est un jeu d'horreur, c'est pas censé être dynamique mais là on se fait vraiment chier. Bref, l'esthétique est géniale, la bande son est réussie, les idées sont là mais tout est pourri par une accumulation de détails énervants qui rendent l'expérience casse-cou!lles. Pour l'heure, suivez le conseil du titre du jeu et restez hors de la maison.

great game, very challenging and well thought-out puzzles. Just the bunker (facultative) part was boring as much as the arcade game at the very beginning of the game. But still great if you want to play it casually and discover things by your own ! Deadly Night is pretty similar to this game if you want to try another one in this kind :) PS: fck you with the battery hidden at the ceilling.

The old lady in the wheelchair did acrobatics on the stairs and started snitching at the fat guy with the hammer (in the end I beat the old lady to death with a hammer) 11/10

Stay Out of the House est un jeu tiré des slashers des années 70 avec une esthétique PS1 joliment réalisée qui accentue le côté angoissant et pesant du titre. Dans cette aventure masochiste, on incarne Roxanne, une jeune femme qui s'est dit que ce n'était pas une si mauvaise idée que de rentrer dans une maison à l'allure délabrée, au milieu d'un champ de maïs, dans l'espoir de retrouver son petit ami disparu. Manque de pot, la pauvre Roxanne va mettre les pieds dans un bourbier dont elle va avoir du mal à ressortir indemne. C'est finalement un jeu de chat et de la souris qui nous est proposé dans lequel il va falloir s'extirper de la maison du boucher sans qu'il ne nous mette la main dessus. Pour ce faire, il va falloir se familiariser avec les lieux, détecter les menaces, trouver les cachettes et passages dérobés, et fouiller chaque recoin en quête de la clé nous permettant de quitter cet enfer. Ne vous fiez pas à l'allure bedonnante du bougre tant votre hôte est doté d'une ouïe fine associée à une vue perçante malgré son sac de jute sur la tête. En effet, le son et la lumière font partie intégrante du gameplay pour vous contraindre à vous faire petit et à vous dissimuler dans les endroits sombres pour ne pas éveiller les soupçons de votre présence. Quelle délicate attention. La proposition est respectée : ça fout les miquettes et on en ressort avec une bonne dose d'adrénaline. L'enrobage sonore soigné accentue l'immersion, avec un casque sur les oreilles, chaque cavalcade nous fait vivre un plaisir coupable dont peu de jeux peuvent se targuer, à tel point qu'on a finalement qu'une envie : désinstaller ce bordel. Au vu de la proposition, dites-vous que c'est un gage de qualité. Pour ne rien arranger, le système de sauvegarde nous joue la carte de l'inspiration Resident Evil en nous demandant d'utiliser des cassettes VHS dont le nombre est évidemment limité. Tout ça vient ajouter une pression supplémentaire lorsqu'on entend les pas de notre taxidermiste préféré dans le couloir d'à côté, prêt à nous découper à l'aide de son couperet bien aiguisé, pendant qu'on essaie désespérément de crocheter une serrure. Malgré la bonne frousse du début du jeu, je suis contraint de remarquer que le problème inhérent à ce genre de proposition est aussi de mise ici. Passé une poignée d'heures convaincantes, il devient presque routinier de semer notre boucher en slalomant à travers sa maison, lorsque ce n'est pas carrément en lui tirant dessus à bout portant - ça va le faire cogiter un temps -, le jeu perd alors une partie non négligeable de sa superbe. Je regrette de ne pas avoir été confronté à plus d'une menace tout au long du jeu, [spoiler]une fois la bruyante mémé écartée de l'équation, ce qui peut être le cas très tôt dans l'aventure[/spoiler]. Pour ne rien arranger, le rythme ciselé du début s'essouffle vers la fin, surtout pour ceux qui vont tirer sur la corde en allant se perdre dans les sous-sols. On remet alors le couvert pour 2 ou 3 heures dont je me serais bien passé tant la zone est décevante comparée à l'horrible maison du boucher. Ne laissez pas ce dernier paragraphe vous saper le moral, Stay Out of the House connaît certes quelques imperfections, ça n'en fait pas moins un jeu haletant, à l'esthétisme léché et qui saura sans aucun doute ravir les férus du genre, et peut-être même quelques autres à la curiosité malsaine.