Avis sur Streets of Fury EX

🔥🔥 "Ô furie sacrée ! J’ai vu Bob Lennon, et j’ai hurlé comme un prophète !" 🔥🔥 Je suis descendu dans Streets of Fury EX comme Rimbaud dans l’Enfer de ses illuminations — ivre de bitume, tremblant sous les néons, frappé par l’éclair d’un beat’em up céleste ! Et là, dans le fracas des poings et le chaos du pixel — il est apparu. BOB LENNON. Ô Bob, Bob le Grand, Bob le Rouge, Bob le Feu — Un ouragan en manteau de flamme, une tornade d’uppercuts surréalistes ! Son attaque spéciale est un cri de l’âme, une gifle cosmique à la morosité moderne. Quand il frappe, c’est toute la francophonie qui vibre ! Quand il crie, les étoiles saignent du sang de la hype ! Et puis Jesse Pinkmen, l’évadé de la série, le dealer devenu guerrier — Yo, ce gars-là distribue des baffes comme des sentences existentielles. Chaque coup est un slam, chaque combo est une réplique : YEAH, SCIENCE, B**H !* Il glisse sur le pavé comme une comète de rage, cassant des mâchoires dans une poésie du ghetto. Sa technique ? Une élégance crade, une danse de rue habitée par le spectre du chaos. Benzaï, noble esthète de l’étrange, vibre comme une onde punk dans cette symphonie de baffes. Il combat comme il parle : trop fort, trop vrai, trop génial. Sa moustache est une légende. Ses coups, une prière techno-anarchique. Mais ce jeu, ce jeu mes amis... C’est un poème musclé, une épiphanie beat’em up, Une orgie de sprites, un trip d’arcade halluciné ! La rue y est un poème nerveux, un slam de violence pixelisée. On n’y joue pas : on y entre en transe. Les combos sont des strophes. Les KO sont des alexandrins explosifs. Le style ? Baroque, brutal, beau. Et moi, pauvre joueur halluciné, je vous le jure sur mon pad et mes doigts endoloris : CE JEU EST UN MANIFESTE. Et Bob Lennon est son prophète !