Avis sur Warehouse and Logistics Simulator

I was thinking Woodcutter Simulator was the worst ever made "simulator" game. I was wrong

Aucune option pour changez c'est touche Donc limite injouable avec un clavier AZERTY

de la grosse m"rde pff quelle honte je veux un remboursement 15euro pour un truc ainsi ca me degoute

Le jeu est assez incompris. Souvent traité comme un vulgaire jeu d'emploi sous-évalué. Ce dernier nous plonge dans un futur hypothétique teinté de fantastique et de science-fiction. En effet, les créateurs du jeu ont ouvertement confié à Julien Chièze de Gameblog, je cite: "Nos inspirations viennent d'oeuvres cinématographiques reconnues telles que "Bievenue à Gatacca", "A.I." & "The Bronzés: The Third"". Le jeu traîte de la place de la transpalette électrique dans un futur où la race humaine a été réduite à l'état de fantômes errants, suite à une attaque nucléaire d'échelle mondiale initiée par Bob Lennon, qui en 2028 (date et ère du jeu), dispose de 3 milliards de followers Twitter ainsi que des connexions très étroites avec des réseaux terroristes anti-gauchistes. La machine, de par ce fait, ignore totalement cette masse informe mais toute la thématique du jeu repose sur la lutte de la transpalette contre la terre et la pierre. La nature - certes morte - reste physique et garde son autorité sur les éléments qui daignent la fouler. Le DLC zombie a été considéré par certains comme un gimmick lamentable visant à faire vendre le jeu à des joueurs écervelés de FPS peu originaux. Il serait très usurpé et usité de penser que ce DLC n'a aucun sens. En effet, suite à la destruction de monde de Bob Lennon, les gauchistes ne sont pas devenus fantômes, hantés par cette rage inextricable et incontrollable de vouloir gagner de l'argent, argent rendu inaccessible au peuple à cause du monopole totale et totalitaire de ce dernier sur Youtube. L'absence de leaderboards est déplorable, mais nous saluerons le gameplay léché, en saluant tout particulièrement la mécanique de drifting des véhicules qui n'a rien à envier à BurnOut. Les missions sont variés, on aurait aimé que GTA V nous propose la même chose. Gameplay émergeant, modélisation des véhicules sans faille, scénario Hitchcockien, réalisation Nolanesque, Hans Zimmer aux musiques. Rangez vos fusils les haters. Si le jeu avait coûté 60 euros, j'en étais. Achetez-le.