Avis sur Drunken Robot Pornography

jouissif

C'est joli mais je n'ai encore trouvé aucun Pokemon. Je dois mal jouer.

Avec ces Graphisme doux et bourré d'humour, ce jeu vous occupera certainement un certain temps!

Un chrono et un boss gigantesque à affronter. Un chrono est une montagne de points a faire. Un chrono et ... Drunken Robot Pornography vous fait traverser la psychée éthilique d'unH ALL9000 en pleine crise de rage au commande d'une usine à robots. Avec son mode création il peut être vu comme un Trackmania en FPS BOSS RUSH. N'oubliez pas : 'In vino Veritas'

Vraiment fun et agréable à jouer. Le gameplay est simple et ultra efficace avec une courbe de difficulté très bien jaugée. Je conseille de jouer en plus haut niveau de difficulté, sinon les niveaux s’enchaînent trop vite et on n'a pas le temps d'analyser les patterns des boss.

Le but premier de Druken Robot Pornography* est de dépiauter des engins mécaniques de chacun de leurs morceaux puis de détruire leur noyau dans un temps imparti. Cependant, ce jeu est destiné à un public très précis. Sur ce concept simple vient se greffer des compteurs de points, armes, temps et objets récoltables pour scorer comme un goret en se battant contre les robots géants. Ce n'est donc pas pour les fans de FPS nerveux quake-ifiant mais uniquement pour les fans de scoring agressifs ou, à la rigueur, les amateurs de challenges ardus. A la liste des reproches qui pourront faire de la peine au simple amateur d'FPS rapide: un feeling des armes mou franchement mauvais, des ennemis souvent informes qui tiennent plus du tas de taule que du méca japonais, des niveaux au look ultra aseptisé et un level design au mieux pauvre voir vraiment pénible. Pourtant ... Difficile de cracher sur le jeu. Réduire un robot de la taille d'un gratte-ciel à l'inexistence en faisant exploser tous ses morceaux un par un est très gratifiant et encore plus quand le combat a été acharné. Un humour omniprésent rend le fil conducteur entre les missions très sympathique et la marge de progression du joueur face à ces colosses finit de rendre le tout très satisfaisant. Par ailleurs le personnage est très maniable et le jeu d'esquive nécessaire pour survivre aux océans de lasers et de balles qui vous arrivent dessus est vrai plaisir une fois maîtrisé. Bref, un titre différent qui ne plaira pas à tout le monde mais qui sera surement le fétiche absolu des joueurs de DoDonPachi-like aimant aussi les FPS. *meilleur nom de l'histoire probablement

Pour un jeu qui commence avec un concept aussi original que le bullet hell en FPS, on pourrait s'attendre à quelque chose de très amusant. Cependant, la conception des niveaux (verticaux avec plein de plateformes au dessus du vide), qui empêche de bien se déplacer sans chuter tout en esquivant/envoyant les projectiles, et la rigidité des mouvements sont un énorme frein au potentiel nerveux du jeu. De plus les boss sont franchement pas impressionnants au delà de leur design, la recherche de pattern est inexistante car il suffit de tirer comme un demeuré sur les extrémités de leurs membres pour les vaincre, sachant que les "challenges" résident dans la limite de temps frustrante à cause de la structure des niveaux, ainsi que dans les vagues de drones qui apparaissent aléatoirement pour nous foncer dessus. Au moins les musiques sont bonnes

Excellent jeu, dans un style "shoot'em up 3D" mixé FPS, une ambiance sonore parfaite et un level design maitrisé, (et qui dégage une ambiance toujours très "cyberspace" à la façon d'un TRON/... Mais qui me parait bien plus maitrisé que dans les précedent jeux de l'éditeur. Enfin, la présence d'un éditeur de niveau/boss ainsi que du Steam Workshop, offre à ce jeu une très bonne durée de vie.

J'ai vraiment failli le recommander mais après avoir rédigé mon évaluation, j'ai finalement changé d'avis. Même si factuellement, il dispose de plus de points positifs que négatifs. Girouette? Moi? Voyons. Commençons donc par le bon avant d'embrayer ensuite sur le moins bon (ou le mauvais). Nous prenons place dans un univers futuriste composé exclusivement de maps, oui pas de monde ouvert. Ces cartes correspondent à des niveaux que l'on va devoir enchaîner pour progresser dans la trame du jeu. Tout le background est assez coloré, diversifié et relativement bien ficelé graphiquement parlant. Notre héros se la joue Iron Man et nous l'incarnons à la première personne, seule notre arme est dans notre champ de vision. Un jetpack complète la panoplie. Le pitch est simple, détruire des "titans" : machines infernales débitant plus de lasers à la seconde que ma mère de tranches de saucisson, pourtant équipée elle de son légendaire couteau de cuisine. Pour cela, il faut tirer un peu comme à la loterie, c'est à dire au hasard, enfin d'abord commencer par les extrémités car c'est bien connu, c'est là que ça fait le plus mal (si tu vois ce que je veux dire). http://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=959162580 Après avoir zigouillé du robot à coup de blaster en digne héritier que nous sommes de Chewie, une pause parait bien méritée et je profiterai de cet interlude pour mûrir mon développement des points négatifs. ********* [i]Coco le perroquet Avait le hoquet. Il mangea un briquet, Picora un bouquet, Avala un ticket, Grignota un paquet, Croqua un bilboquet, Dévora six criquets. Malgré ce traitement Complètement dément, Coco le perroquet A toujours le hoquet.[/i] ********* Merci de votre patience, reprenons. L'histoire, ah l'histoire. J'avoue l'avoir perdu brutalement en lançant le jeu. Vous l'aurez compris, il n'y en a pas. Enfin, il y a bien un zeste de storyline, essayant maladroitement d'introduire le concept de "je me retrouve sur une carte avec des robots géants qui veulent m'anéantir". Je suspecte les développeurs d'avoir produit le jeu en entier avant de finalement se pencher sur l'histoire car vous savez, le cahier des charges... Le jeu, en plus d'être en full english, fait parler des robots. Mazette alors pour comprendre des voix robotiques anglophones... Du coup, si j'ai bien compris, notre barman-machine a une dent ou plutôt un engrenage contre nous et va nous mettre les bâtons dans les roues au fil de l'histoire (?). Bref, retenez juste que c'est nul. Archi nul. Concluons cette review par l'énervement temporaire, (j'ai déjà cassé mon écran précédent, je m'en voudrai à mort d'enterrer à son tour le nouveau) que m'a causé une autre facette du jeu. Ce qui est bien dans la majorité des jeux, c'est que l'on a le choix entre facile, normal ou difficile nous permettant ainsi de jongler entre les diverses difficultés en fonction de nos capacités. Or, votre serviteur ayant la capacité d'une huître, je me suis retrouvé bloqué au niveau 13 (oui je sais, malchance quand tu nous tiens...) à essayer de le passer trois fois d'affilée, sans pouvoir choisir une quelconque difficulté. Alors oui je sais. Tous les hardcore gamers me diront que là est le plaisir de la chasse à la victoire, là est l'attrait d'apprendre les patterns des boss, là est la frénétique excitation de tout noter sur un bout de papier à scotcher dans le coin gauche de son écran... Je vous arrête de suite. Comme je l'avais dit dans une précédente évaluation, je suis un obèse suant et gras, je vis dans la cave de ma mère de chips et de bière ET j'ai eu déjà suffisamment de difficultés à sortir du fondement de ma génitrice à ma naissance pour ne plus jamais voulu avoir affaire à une quelconque complication. Pour parodier Claude Barzotti : Je suis casual et je le reste. Si tout ça ne vous a pas encore découragé, le prix devrait finir de vous achever. Si ce n'est pas le cas, je me porte volontaire avec ma hache pyrénéenne. [b]A éviter.[/b] [code]Vous avez aimé cette évaluation? Retrouvez-en d'autres en rejoignant notre groupe de rédaction : [url=http://steamcommunity.com/groups/onlespreferefroids#curation]On les préfère froids.[/url][/code]