Drug Dealer Simulator 2 - Graphiques & Statistiques Steam

,jkn

>OUI<

i love drugs

grnad bac a sablr avec bcp de missiond

Le jeu est sympa mais malheureusement il y a beaucoup de crash du jeu qui font perdre la progression, ça rend fou...

Etant fan du premier, je me suis dit aller lançons nous. Perso pas déçu. Il faut par moment passer un peu de temps pour comprendre les mécaniques, il y a des bugs, une traduction fr à 80%, on fait beaucoup... beaucoup d'aller retour, mais franchement je m'éclate. N'allez pas trop vite et tout se passera bien.

[h3]UNE BONNE DOSE DE DRO.... DE... FRUSTRATION.[/h3] Bon, soyons honnêtes... Drug Dealer Simulator 2 est un jeu vraiment sympa dans l’ensemble. L’ambiance tropicale est réussie, la map ouverte rend le gameplay bien plus agréable que le premier, et le côté gestion avec le labo est franchement une excellente idée. Mais… (et il y a un gros "mais"), le jeu est truffé de problèmes qui rendent l’expérience bien plus frustrante qu’elle ne devrait l’être. [i][b]"Pourquoi j’ai plus peur d’un gars en slip que de l'armée ?"[/b][/i] La map, par exemple, a clairement été bâclée. Entre les polygones mal foutus qui te glitchent une fois sur deux et les environnements qui manquent cruellement de finition, on sent que ça manque de détails. La police est juste infernale : elle te chope à travers les murs, te tue alors que t’es planqué derrière un bloc de béton, et les types en slip qui t’agressent sans raison 24 fois par heure, même quand t’as toute la réputation du monde, c’est à en devenir fou. [i][b]"On voulait un open-world du crime, on a eu un simulateur de patience."[/b][/i] Mais le pire reste le système d’attente forcée de 45 minutes avant de pouvoir avancer dans l’histoire. Sérieusement ?! Même si tu fais tout parfaitement, sans te faire repérer et cagouler, tu te prends quand même la pénalité comme si la police avais le pouvoir ultime de savoir que c'est TOI sur une archipel presque exclusivement rempli de criminel. C’est juste un cauchemar. Et cette fin qui te demande de farmer les cambriolages en boucle pour remplir deux conteneurs sur quatre, tout en pénalisant la réputation du cartel alors que tu fais ça pour eux… non, franchement, c’est abusé. Sans parler des raids incessants qui t’obligent à rester AFK pour ne pas ruiner ton labo. [i][b]"J’ai vu des junkies plus stables que le code source du jeu."[/b][/i] Heureusement, la coop sauve un peu les meubles. Malgré tous ces moments rageants, j’ai pu me marrer avec un pote, et c’est ce qui rend le jeu jouable. Mais au final, DDS2, c’est comme le premier en mieux sur certains aspects (distribution, création, gestion), mais en même temps bien trop mal maîtrisé. Une map plus grande et en apparence plus vivante, mais vide et bâclée quand on y regarde de plus près. C’est frustrant, parce que le jeu a de super idées, mais elles sont totalement noyées sous les problèmes. [i][b]"Le premier, mais en mieux… et en pire à la fois."[/b][/i] Donc soit les devs ont voulu trop en faire et n’arrivent pas à gérer leurs promesses, soit le jeu est juste sorti beaucoup trop tôt. Dans tous les cas, il a un potentiel énorme, mais tant que ces problèmes ne sont pas corrigés, ça restera une expérience aussi frustrante qu’addictive. [h3]POSITIF :[/h3] +Ambiance tropicale réussie +La map ouverte, plus agréable que le premier +Gestion du labo vraiment cool +Système de quartier plus développer que l'épisode précédent +Le nombre de meubles et de planque disponible +Beaucoup de bonnes idées sur la distribution et la création +Jouable en coop, et ça sauve l’expérience [h3]NÉGATIF :[/h3] -Map mal finie, glitchs en pagaille -Les PNJ ultra agaçants qui t’attaquent non-stop -La police qui triche à travers les murs -Temps d’attente forcé de 45 minutes dans l’histoire -Crashs incessants -Une fin d’histoire mal pensée qui oblige à du farm abusif [h2]CONCLUSION :[/h2] Au final, Drug Dealer Simulator 2 aurait pu être un excellent jeu. Il l’est par moments, mais il est aussi bien trop frustrant pour qu’on l’apprécie pleinement. Un patch massif pourrait tout arranger, mais en l’état, c’est un « oui, mais… ».